Un blog pour discuter de la gestion de l'eau en Algérie. Le site est ouvert à tous afin de débattre où de s’exprimer sur le sujet. J’espère que vous trouverez l’information que vous cherchez, un blog à lire…

mercredi 30 avril 2014

L'eau vaut plus cher que l'or | Indice | Bourse | Argent | Le Journal de Québec

L'eau vaut plus cher que l'or | Indice | Bourse | Argent | Le Journal de Québec

Marseille: irrégularités dans les marchés de l'eau décelées...

La chambre régionale des comptes a mis en lumière plusieurs irrégularités dans l'attribution à l'automne 2013 des marchés de la distribution et l'assainissement de l'eau par Marseille Provence Métropole (MPM), la communauté urbaine de Marseille, dans des avis rendus publics lundi. La chambre régionale, qui indique être intervenue à la demande du préfet de région, s'intéresse notamment à la durée des contrats, aux obligations de publicité, à la transparence dans la décision et à une possible situation de conflit d'intérêt d'une élue de MPM, dans quatre avis distincts, trois consacrés au marché de l'assainissement, un à celui de la distribution. Ces marchés de délégations de service public (DSP), d'un montant total de 3,2 milliards d'euros votés le 31 octobre, ont été attribués à la Société des eaux de Marseille (SEM, filiale à 100% de Veolia) pour la distribution, un contrat qu'elle détient depuis 60 ans, et pour deux des trois lots d'assainissement, le troisième revenant à Suez Environnement. L'institution observe ainsi que le conseil de communauté a attribué ces DSP "sans procéder à aucun débat sur la durée du futur contrat (de 15 ans, NDLR)", qu'elle juge "manifestement excessive", ce qui "accentue le déséquilibre au profit du délégataire et aux dépens de la collectivité et de l'usager". Les magistrats relèvent également que, si MPM a "bien respecté" les obligations de publicité initiales lors de l'appel d'offres, elle s'est exposée à "un risque de constat d'irrégularité par le juge administratif" en informant les "seules entreprises ayant retiré un dossier de consultation" d'éléments nouveaux, "en particulier un report de la date limite du dépôt des candidatures et des offres". Autre grief sérieux: "l'influence active" d'une élue communautaire aux décisions "ayant abouti au choix de la SEM" pour le contrat "eau", et ses liens avec le PDG de cette entreprise, Loïc Fauchon, ex-président et actuel président d'honneur de l'association Conseil mondial de l'Eau (qui organisa le Forum mondial de l'eau à Marseille en mars 2012) dont elle fut nommée trésorière en novembre 2012. "Il existe un risque d'annulation des délibérations" auxquelles cette élue qui pourrait être considérée "comme un conseiller intéressé" a pris part, pointe la chambre. "Je suis étonnée de constater une atteinte à ma probité et à mon intégrité uniquement sur le contrat de l'eau, alors que nous avons mené aussi dans les mêmes conditions les trois négociations sur l'assainissement", a réagi dans un communiqué l'élue (UMP) concernée, Martine Vassal. "Ce sont les services de MPM qui ont mené l'analyse, et nous avons suivi leurs préconisations", souligne-t-elle, se disant "sereine". MPM est également soupçonné de ne pas "avoir utilisé toutes ses marges de négociation (...), qui auraient notamment pu être mises au service d'une diminution des tarifs du délégataire plus forte que celle obtenue, ou à l'exigence que celui-ci réalise davantage de travaux neufs". "Le résultat de la négociation est très favorable aux intérêts du délégataire", assure ainsi la chambre. Dans un communiqué, MPM "prend acte" des avis de la CRC. Son nouveau président (UMP) Guy Teissier "demande aux services juridiques de MPM, sous couvert de l'Inspection générale des services, d'apporter les réponses aux questions soulevées par la chambre avant le 25 mai prochain". LA SEM "a proposé le meilleur service au meilleur prix pour les habitants de la Communauté urbaine - et notamment une baisse de 20% par rapport au tarif précédent", a réagi la Société des eaux de Marseille. "Aussi, elle se tient aux côtés de la Collectivité afin d?apporter aux autorités compétentes toutes les explications qui pourraient se révéler nécessaires", assure-t-elle dans un communiqué. De 2008 à 2014, la communauté urbaine a été cogérée par la droite et la gauche, après l'élection surprise du socialiste Eugène Caselli à la présidence malgré une droite majoritaire.

lire ici l'article original
lire ici l'article publié par Médiapart

« Warka Trees »

Cette incroyable invention pourrait résoudre le problème de l’accès à l’eau potable dans le monde

En Ethiopie, comme dans de nombreux pays à travers le monde, des millions de personnes parcourent chaque jour plusieurs kilomètres à pied pour ramener de l’eau potable dans leur village. C'est en pensant à ce problème qu'un ingénieur Italien a inventé une structure permettant de collecter directement de l’eau potable… à partir de l’humidité de l’air. Elégante en plus d’être économique, l’invention, baptisée « Warka Tree », pourrait bien résoudre une bonne fois pour toutes un problème pourtant sans solution depuis des millénaires.

C’est simple comme une ferme qui recueillerait l’eau de l’air ambiant. Et ce n’est pas de la science fiction. Selon le site américain Geek.com, le « Warka Tree », inventé par Arturo Vittori et Andreas Vogler, du bureau d’architecture italien « Architecture & Vision », est une construction très simple, très économique. Le concept est simple: la nuit, la différence de température provoque la condensation de l’humidité de l’air ambiant. Dans les zones arides, comme en Ethiopie, cette condensation, n'étant pas collectée, s’évapore rapidement après le lever du soleil.

 Un tissu en nylon spécial au coeur d’une structure simple permet la collecte de l’eau dans le « Warka Tree »


Se basant sur des travaux scientifiques développés par plusieurs ONG, comme par exemple FogHarvest (financée par l’ONU), les architectes ont eu l’idée de créer une structure simple, peu coûteuse, pour mettre le principe de la collecte d’humidité ambiante à l’aide d’une matrice en nylon possible dans ces zones très arides, mais aussi très pauvres économiquement. Et les tests sont très encourageants, puisqu’entre 25 et 40 litres par machine pourrait être ainsi collectés chaque jour. Coût par appareil ? Environ 550 euros. L’ensemble utilise principalement une structure en bambou, très légère, et peut être rapidement et facilement assemblé par un petit groupe de personnes. La machine, une fois montée, ne nécessite aucun entretien. Il suffit juste d’aller se servir en eau lorsqu’on en a besoin. Les premiers « Warka Trees » devraient être installés en Ethiopie dès 2015.

lire ici l'article original et ici de sa source en anglais

dimanche 27 avril 2014

Des contrats de performance pour la gestion de l’eau...

Des contrats de performance pour la gestion de l’eau (ministre)
Des contrats de performance seront signés prochainement avec les directeurs des ressources en eau des wilayas pour disposer d’outils de mesure de la qualité de gestion, a indiqué samedi à Alger le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib.
"Cette année, on va signer avec les directeurs des ressources en eau des wilayas des contrats de performance et on effectuera une évaluation par wilaya et non seulement au niveau national", a indiqué M. Necib qui s'exprimait lors du forum du quotidien El Moudjahid.
"On a investi 600 milliards de centimes pour des équipements dans les wilayas gérées par l’Algérienne des eaux (ADE) pour une meilleure intervention sur le réseau" a-t-il ajouté. Le ministre a aussi annoncé que son département allait mettre en œuvre des contrats de performance pour suivre le dossier de la lutte contre les fuites et les déperditions sur le réseau d'alimentation en eau potable.
En matière de fuite, le niveau toléré à l'échelle mondiale est 30 mètres cubes (m3) par kilomètre linéaire par mois, alors que ce niveau est à 45 m3 en Algérie. Selon le ministre, la priorité de son secteur pour les années à venir sera la lutte contre les fuites d’eau. "C’est notre cheval de bataille.
En considérant que la bataille de la mobilisation des ressources est gagnée, l’autre véritable bataille est celle de la gestion de la ressource, ce qui sous entend une modernisation du service public. Les fuites physiques se situent autour de 20% et c’est beaucoup car c’est lié à la vétusté du réseau de l’ADE", a expliqué le ministre.
Il a relevé que les communes n’ont pas assez de moyens pour l'entretien des réseaux d'AEP affirmant que 40 villes à travers le pays sont identifiées pour subir une réhabilitation, alors que les travaux d’aménagement sont lancés dans 17 villes.
En tout, le secteur réalise des projets de réhabilitation du réseau à raison de 3.000 km par an. Le ministre a souligné aussi que 30.000 km de réseau d'AEP ont besoin d’être réhabilités, soit 6.000 km par an avec plus de moyens financiers. "C’est notre priorité jusqu’à 2019. On travaillera pour mobiliser les ressources nécessaires", a-t-il confié car "on veut mettre à niveau le réseau de distribution à travers le territoire national".
La révision des tarifs n’est pas à l’ordre du jour
Abordant la tarification de l’eau potable, le ministre a estimé que le tarif actuel est symbolique au vu du coût réel, car les frais de gestion du mètre cube d’eau potable est 6,5 DA alors que son prix actuel traduit la volonté de l’Etat de faire en sorte que cette denrée soit accessible à tous les citoyens.
"En termes de révision des tarifs, cette question n’est pas à l’ordre du jour du gouvernement", souligne-t-il.  A propos de la saison estivale et du ramadhan, le ministre a indiqué qu'une réunion est prévue prochainement pour examiner l'approvisionnement des citoyens en eau potable durant cette période. Cette rencontre regroupera toutes les parties concernées dont les directeurs de l’ADE, les responsables des sociétés relevant du secteur et les représentants des APC.        
Par ailleurs, 15 projets de barrages sont déjà au stade d’étude et "on a identifié 28 sites susceptibles d’abriter d’autres barrages", ajoute-t-il. A cela, s’ajoute le fait que 1,2 milliard de mètres cubes d’eau sera produit par année à partir des eaux épurées grâce à 150 stations d’épuration et elles seront dirigées vers d’autres usages.
 A propos du transfert In Salah-Tamanrasset, le ministre a indiqué qu’il n’y a pas de problème d’oxydation qui soit porté à sa connaissance ajoutant qu’une station de déminéralisation sera réalisée pour empêcher l’eau de contenir du sel.
Revenant sur l'évolution des investissements dont a bénéficié le secteur, M. Necib a indiqué que lors du programme 2000/2004 quelque 652 milliards DA avaient été injectés puis 1.400 milliards DA entre 2004 et 2009 alors qu'au titre du plan 2010/2015 une enveloppe de 1.200 milliards DA avait été consacrée à la réalisation d'infrastructures hydrauliques, notamment les barrages et les transferts d'eau.
Depuis 2000, a-t-il poursuivi, 3.252 milliards DA ont été consacrés par l'Etat au secteur des ressources en eau.Interrogé au sujet du gaz de schiste, le ministre a rappelé que dans le cadre de la stratégie énergétique du pays, il y a un débat sur la question avec la participation d'experts en la matière.
"Le gaz de schiste ce n’est pas pour demain", a encore dit M. Necib selon qui les technologies actuelles ont permis "de réduire un peu" la consommation d’eau grâce au recyclage. "Nous allons vers un compromis pour allier la stratégie énergétique et la protection de la ressource hydrique", ajoute-t-il.

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Irrigation prochaine d’un million d'hectares...

Hocine Necib, ministre des ressources en eau : Irrigation prochaine d’un million d'hectares

Un (1) million d’hectares supplémentaires de terres agricoles seront irriguées durant le prochain quinquennat à travers le pays.
«Cette importante superficie à irriguer s’ajoutera aux 1,2 millions d'hectares bénéficiant déjà de ce système d’irrigation», a annoncé, avant-hier, le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib dans un point de presse, qu'il a animé à la fin de sa visite de travail dans la wilaya de Aïn Defla, faisant état d’un travail conjoint avec le ministère de l’Agriculture.
 
Le ministre a précisé que cet objectif s’inscrit dans le cadre de l’autosuffisance et la sécurité alimentaire, ajoutant que les wilayas concernées par sa concrétisation sont celles qui font preuve d’ambition à "relever ces défis" et à développer le secteur de l’agriculture.
 
En outre, selon le ministre, une fois ce projet concrétisé, la superficie totale irriguée de la wilaya d’Aïn Defla «passera de 43.000 hectares à l’heure actuelle à 70.000 hectares», a-t-il indiqué, avant de faire état de la réalisation, lors de la période considérée, de 10 retenues collinaires et de 7 à 8 petits barrages. Il a assuré dans le même ordre d’idée, que le recensement des potentialités hydriques permettant de développer la superficie des terres irriguées de la wilaya d’Aïn Defla doit constituer une «priorité nationale», assurant que tous les moyens seront mobilisés pour la réussite de cette opération.
 
«Un plan est mis en place pour atteindre cet objectif en concertation avec les autorités locales et le ministère de l’agriculture», a-t-il indiqué, faisant remarquer que les potentialités hydriques et agricoles dont dispose la wilaya ne peuvent qu’inciter à l’optimisme.
 
Dans le même contexte, le ministre a souligné qu’un contrat sera signé au mois de mai prochain entre l’Office National et de Drainage (ONID) et un partenaire espagnol en vue de la généralisation des serres multi chapelles en Algérie. «L’agriculture doit évoluer avec le développement de la technologie. Il est clair, que les serres multi chapelles ont des rendements très élevés et cela va dans la perspective d’atteindre l’objectif de sécurité alimentaire», a-t-il insisté.
 
Il a ajouté qu’il est «indéniable que les serres multi chapelles permettent d’augmenter les rendements agricoles», a-t-il ajouté, notant que la wilaya d’Aïn Defla sera l’une des premières à bénéficier de cette opération. Par ailleurs, le ministre de l'Agriculture et du développement rural, Abdelouahab Nouri, a souligné, avant-hier, que la protection des terres agricoles de l'avancée du béton nécessitait l'intervention de toutes les institutions de l'État.
 
«On ne peut pas rester indifférent face aux crimes perpétrés contre les terres agricoles qui se transforment en chantiers», a indiqué Nouri, à l'ouverture de la 12ème  édition du salon international de l'agroalimentaire «Djazagro 2014» appelant tous les responsables à préserver cette «richesse» en faveur des générations montantes. Selon lui, il s'agit d'un patrimoine «sacré» qui doit être protégé par tous pour préserver ce qui en reste, aussi bien par le ministère de l'Industrie que les autres secteurs.

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mercredi 23 avril 2014

Papaoutai...

Salah Derradji (El Khroub)

Les habitants sans eau depuis près de deux mois

La population qui continue de souffrir, appréhende déjà les grosses chaleurs.
Les habitants de la localité de Salah Derradji, située à 4 km d’El Khroub, n’ont pas d’eau depuis près de deux mois. Désemparés par cette situation catastrophique, leurs représentants se sont rapprochés de notre rédaction pour attirer l’attention des services concernés. Ils sont contraints d’acheter des fûts de 200 litres, à 100 DA l’unité, contenant de l’eau dont, disent-ils, ils ignorent l’origine. Ils utilisent cette eau juste pour se laver et pour les besoins du ménage. «Ça nous coûte les yeux de la tête, et pour boire nous achetons de l’eau minérale», fulmine un des plaignants, qui ajoute : «Nous avons contacté la société des eaux et de l’assainissement (Seaco) à plusieurs reprises, mais à chaque fois ils nous demandent de patienter. En outre les camions-citernes acheminés par la Seaco pour alimenter la population en AEP ne sont pas suffisants. Il y a 750 logements évolutifs, sans compter que les familles nombreuses sont légion, ajoutez à cela l’école primaire et le CEM.»

Notre interlocuteur a précisé que durant cette pénurie d’eau, ils ont quand même continué à recevoir des factures, et ceux, dit-il, qui ont refusé de payer ont été poursuivis en justice par la Seaco. Pour avoir plus de précisions sur cette coupure d’eau qui dure, nous avons contacté la cellule de communication de la Seaco. Voici la réponse qui nous a été fournie: «La conduite principale alimentant le village,, dont le diamètre est de 930 mm, a été endommagée suite à un glissement de terrain survenu entre Ouled Rahmoun et Salah Derradji. Les travaux ont duré plus d’un mois à cause de la difficulté de la situation, car nos agents sont en train de réparer 1, 100 km de longueur pour que les dégâts ne se reproduisent plus.»
Le chargé de communication qui a insisté sur le fait que le problème n’émane pas de la Seaco et qu’il est dû au glissement de terrain en question, a assuré que la population sera alimentée au moyen de citernes fournies par la société jusqu’à la fin des travaux. En outre, notre interlocuteur nous explique la nature des travaux en question : «La conduite principale va être remplacée par deux conduites d’un diamètre de 500 mm chacune et ce, dans le but de diminuer la pression.»
Et notre grand Papaoutai de la communication de conclure : «Nous demandons aux citoyens de patienter et d’être compréhensifs, car c’est pour leur bien.» 

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lundi 21 avril 2014

Les Guignols déménagent au Maroc...

Cinq nouveaux marchés au Maroc
Eaux de Marseille Maroc recrute lien : cette filiale du Groupe des Eaux de Marseille vient de remporter cinq nouveaux marchés d'études et de suivi des travaux d'amélioration de rendement des réseaux lancés par l'Office national de l'électricité et de l'eau potable.
 Ces contrats sont assortis d'un objectif d’augmentation du rendement des réseaux de 10% au terme des marchés. Au total, 2300 km de réseaux et 181.000 branchements seront inspectés. Des ingénieurs de la Société des Eaux de Marseille participeront à l’élaboration des recommandations, à la sélection des entreprises et au suivi des travaux.
Nos frères marocains vont bien s'amuser avec ces charlots...

samedi 19 avril 2014

Portland : 143 millions de litres d'eau potable perdus pour un pipi

L'histoire aurait pu se résumer à un acte d'incivilité ordinaire. Un jeune homme qui urine à travers les barreaux d'un site interdit au public. Sauf que son méfait a atterri directement dans une réserve d'eau potable de la ville de Portland, aux Etats-Unis, et que la scène a été filmée. Résultat, la ville a vidé le réservoir et jeté les 143 millions de litres d'eau qu'il contenait. L'auteur du pipi, âgé de 19 ans, s'est défendu d'avoir voulu polluer l'eau.

De l'eau en abondance
La ville se défend de gaspillage. David Shaff, patron des services de l'eau de Portland, a expliqué que les 143 millions de litres d'eau souillée serait jetés et remplacés par de l'eau d'une source avoisinante, bien que les tests n'aient révélé aucune pollution occasionnée par le passage du jeune homme. "Nos clients attendent de leur eau qu'elle ne soit pas délibérément polluée. Nous sommes en mesure de satisfaire cette exigence tout en minimisant les risques pour la santé publique", a déclaré David Shaff. Tim Hall, porte-parole des services de l'eau, a de son côté estimé que la mesure ne s'apparentait en aucun cas à du gaspillage.
La dernière fois qu'un réservoir d'eau potable a été pollué de la sorte à Portland, c'était en 2011. Le coupable, âgé de 21 ans, avait été arrêté et condamné à 24 heures de travaux généraux et à rembourser 35.000 dollars. Ces actes d'incivilité et le grand gâchis qu'ils génèrent ne devraient plus se produire à terme, un projet de loi au niveau fédéral prévoyant que les réservoirs d'eau potable soient tous recouverts d'ici 2020.
"Aucun impact financier". "Dès qu'une pollution d'origine humaine survient dans notre eau potable, nous fermons le réservoir, le vidons et le nettoyons", a-t-il indiqué. "Nous sommes dans la position enviable d'avoir de l'eau en abondance. Du coup, jeter cette eau n'aura aucun impact financier sur la ville ou pour nos clients", a-t-il ajouté. Mais la décision de Portland fait grincer des dents plus au sud, en Californie qui connaît l'une de pires sécheresses depuis plusieurs décennies. "Vous êtes sérieux aux services de l'eau de Portland ? Vous êtes obligés de balancer 143 millions de litres d'eau parce qu'un type a pissé l'équivalent d'un verre ou deux?", s'étranglait un lecteur sur le site internet du Los Angeles Times.



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lundi 7 avril 2014

Lucky Luke, le retour de l'enfant prodige...



Nouveau rebondissement dans la saga SEACO, la désignation du directeur de l'ONA (Mr. Ykhlef) au poste de directeur général de la SEACO, malgré sa certification ISO n'a pas suffit pour qu'il garde son poste une seule journée... Notre directeur n'a même pas eu l'occasion de s’asseoir une heure sur son nouveau fauteuil et ceci devrait être inscrit sur le guinness Book algérien pour être le directeur le plus vite nommé et le plus vite dégommé...
Notre Ministre en a décidé ainsi, malgré toutes les lacunes graves de gestion et son manque de professionnalisme, il a finit par conclure qu'il fallait prolonger le contrat avec la SEM.
Le Ministre a décidé de donner un délai supplémentaire, disons illimité à la SEM, trois mois au début et inchallah jusqu'en 2040...
Le lobbying français de l'eau n'y est surement pas étranger et il ne faut pas aussi négliger la pugnacité du patron de la SEM, Mr. FAUCHON qui a triomphé sur ce coup encore une fois et a eu raison des incertitudes algériennes... (un vrai magicien)
Nous revoilà donc à la case départ pour un contrat qui se prolongera certainement jusqu'en 2040...
Le nouveau directeur désigné est français et se trouve être l'adjoint actuel de l'ex. dg (Valin), c'est notre nouveau Lucky Luke qui va nous sauver, le sauveur qui est chargé de nettoyer la Bouillabaisse marseillaise que son ex. patron a laissé, sans oublié que notre Lucky Luke était chargé de la cuisine...

L'ironie de l'histoire : La réception qui était prévue aujourd'hui pour l'ex. directeur algérien de l'ONA, Mr. Ykhlef pour son installation, s'est transformée en réception pour le "Lucky Luke marseillais" et croyez moi les gâteaux achetés pour l'occasion n'ont pas eu à mon humble avis le même gout.
La fête a suivit l'installation du nouveau dg, il y avait des accolades partout et embrassades algéro-française à tout va... 
Les lèches culs n'ont rien ratés, ils revivent enfin, c'était des moments forts et ils ont appréciés, ils ont applaudis la décision du ministre. 
Les lèches culs comme toujours, sans comprendre les enjeux et les négociations de ce nouveau contrat, ont pensés uniquement à leur intérêts, a faire la fête. La seule chose qui les intéressent sans trop réfléchir, c'est de connaitre la meilleur manière de lécher le cul du nouveau patron.
l'épilogue : Les français restent, l'ex. directeur Valin reste aussi comme dg chargé du courrier (oui il reste aussi), les experts restent aussi en nombre réduit, le temps de calmer le jeu et effacer le bordel qu'il ont créé en cinq ans de gestion. 
Après les élections, tout redeviendra comme avant et l'Algérie sera encore plus belle... 

Conclusion : Je vais faire une pause pour mieux comprendre cette décision ministérielle!!!, comprendre le pourquoi d'une prolongation d'un contrat bidon, une prolongation pour un contrat bâclé et qu'on encourage.
J'ai beau essayer de m'enfoncer doucement dans le cul des suppositoires les uns après les autres, je ne m'y habitue toujours pas et ça me fait toujours mal. Alors je ne comprend pas comment certains arrivent a supporter des gros machins dans le cul et a applaudir en même temps...

En lisant le blog, certains crétins pensent et pensent toujours que le blog SEACO est critique contre tout, une illusion qu'ils essaient de transmettre aux autres. D'autres apprécient et apprennent beaucoup sur les question de l'eau. Sur le net, les lecteurs ont toujours été présent, le blog SEACO est bien référencé et cela je n'y peux rien.
Bref, penser que le Blog est toujours contre, depuis le début, pour un partenariat avec la SEM, c'est ridicule et faux. Le blog a été le premier à applaudir ce contrat sachant très bien qu'un partenariat étranger est nécessaire et le choix de la SEM semblait à l'époque correcte. Tout le monde sait pertinemment que la SEM est une grande entreprise française et l'une des meilleures au monde. Le Hic, c'était la décision par la SEM de placer un escroc à la tête de l'entreprise.
Certains parmi nous, Les travailleurs honnêtes, patriotes, n'ont jamais accepté et cautionné un tel partenariat qui s'appuie sur la corruption et la malhonnêteté. Toutes les décisions du monde pour justifiées l'incompétence, encouragé la médiocrité seront critiquées, cela sera ainsi jusqu'en 2040.
Inchallah j'espère sincèrement que je me trompe et que ce partenariat reprendra sur de meilleures bases ...

- ci-joint deux articles publiés le même jour par 2 quotidiens nationaux, deux articles écrit sur la SEACO et diamétralement à l'opposé sur les compétences de notre société...
- le temps d'Algérie lien 
- le quotidien d'Oran lien
je vous laisse faire votre propre opinion, il y a un journal qui dit surement n'importe quoi, moi vous connaissez mon opinion sur le sujet...
Vive l'Algérie

l'Espace Datapresse - Innovation - détection des polluants dans l'eau potable

l'Espace Datapresse - Innovation - détection des polluants dans l'eau potable

Ingrid BAZIN, enseignant-chercheur au Laboratoire de Génie de l'Environnement Industriel de l’École des Mines d’Alès (LGEI), vient de remporter l’Appel à Projets « Chercheur d’Avenir » lancé par la Région Languedoc Roussillon pour accompagner les scientifiques de talent.
Les recherches d’Ingrid BAZIN consistent à concevoir des biocapteurs innovants, destinés à détecter les polluants dans l’eau potable.
Avec le renforcement des normes de surveillance et de protection des ressources en eau, toutes les collectivités et les entreprises en charge de l’assainissement et de la potabilisation de l’eau sont intéressées par des systèmes performants de détection des polluants et par de meilleurs outils d’aide à la décision.

vendredi 4 avril 2014

'' khamsa fi ainek''

Il est algérien, constantinois, jeune, ambitieux et intelligent, c'est le nouveau directeur général de la SEACO. Il est diplomé d'une grande école et est actuellement directeur régional de l'ONA à Constantine. Il a aussi travaillé à ces débuts à la SEACO comme ingénieur, il connait bien l'entreprise dans son fonctionnement et se trouve être depuis le début de la création de la SEACO un membre "ONA" du CA (membre minoritaire du conseil d'administration de l'entreprise "CA" ...)
Nous pouvons dire sans crainte que c'est un cadre compétent et que notre nouveau directeur est bien certifié ISO...

Notre ex. directeur marseillais "Valin" et son équipe de pseudo experts de la SEM ont eu en main sans partage l'entreprise. Ils ont eu pendant cinq ans des facilités inimaginables de l'état algérien. Tout ce qu'ils ont voulu et demandé leur a été accordé et en contrepartie la SEACO n'a rien eu en retour, sauf si ce n'est le désordre et une entreprise destructurée. 
En cinq ans, ce directeur a réussit à écarter des cadres, il a licencié abusivement des travailleurs sur des considérations personnelles, il a aussi recruté du personnel sur des considérations claniques et familliales, il a corrompu tout le monde et a accumulé une fortune qui ferait palir le roi Mobutu, bref il a mis le bordel dans la boite et il est difficle de dire si on s'en remettra... 

Notre nouveau directeur devra relever ce challenge, la tache sera difficile et ardue. Sa désignation est un choix risqué mais intelligent. Il a été choisit parmi les membres actifs du CA composé essentiellement de cadres de l'ADE, lui étant le seul  représentant l'ONA. Proche de l'entreprise mais assez loin par la nature de sa fonction, il pourra quand il sera en fonction juger des priorités sans être trop influencé. Le seul obstacle, sera ces dizaines de cadres inutiles qui graviterons autour de lui comme des vautours et serpentrons dans les couloirs de la direction générale, des cadres qui ont participer grandement à cette débacle. Des cadres incompétents, plutot aptes a critiquer que agir. 
Des cadres qui accepterons très mal qu'un intru "jeune et ambitieux" s'introduise ainsi dans la SEACO, leur boite, la dirige et donne des ordres... 
Combattre la jalousie de certains cadres sera une bataille quotidienne et certainement la plus difficile. 

Bon courage au nouveau directeur et الله معك

La SEACO en bref...

SEACO - Société de l’eau et de l’assainissement de Constantine 
L’entreprise emploie 2000 agents, Avec 23 agences réparties sur les douze communes de la wilaya et un nombre d’abonnés qui dépasse les 180.000, Depuis 2009, la Seaco s’est dotée d’un outil progiciel Water.Erp de gestion de la clientèle au sein de la direction clientèle. Ce système gère les 23 agences clientèles interconnectées. Ce qui permet aux 180 000 abonnés (eau facturée : 44.000.000 m3/an sur 116.000.000 m3/an produit lien et lien et lien) de régler leur facture au niveau de toutes les agences. Tandis que le module de gestion des interventions (GIN) sous Water.Erp permet de formaliser les interfaces avec l’ensemble des directions opérationnelles. A la fin 2013, plus de 28 sites interconnectés utilisent le « GIN ».
le Centre relation clientèle (CRC), opérationnel 7 jours sur 7 et connecté à un numéro vert le 30.25, est mis à la disposition du client. En 2013, le CRC a reçu 7153 appels et a traité directement un total de 6190 appels, soit un taux de 86% des appels. Pour ce qui est du comptage forfaitaire, il a été ramené à 10%.
En fin de contrat, il y a lieu de souligner que le chiffre d’affaires pour l’exercice 2013 a dépassé les 2 milliards de dinars.
La Seaco a lancé depuis décembre 2012, son propre système de télégestion qui consiste en l’équipement de 64 points de télémesure (débit, pression, niveau) sur les ouvrages stratégiques de l’adduction en eau potable de Constantine. La seconde phase de ce projet consistera à équiper les ouvrages de points de télémesure, à équiper la station d’épuration des eaux usées d’Ibn Ziad, à mesurer les débits des grands collecteurs d’assainissement et à mettre en en application la télésurveillance des sites stratégiques de production et de distribution. Si, durant les années 1990, le débit distribué était de 121 000 m3/j, principalement des nappes de Boumerzoug, Hamma Bouziane et du barrage Grouz, ne contribuant qu’à 50% de la demande en eau, il est passé actuellement à 320 000 m3/j (116.000.000 m3/an) grâce aux efforts consentis par l’Etat durant les années 2000 à 2012 ou un montant de 25 milliards de dinars a été investi dans le secteur des ressources en eau. Ce qui a permis d’améliorer la situation de l’AEP, notamment depuis la mise en service du système Béni Haroun. La dotation quotidienne en eau potable par habitant, dans la wilaya, est passée de 94 litres/jour en 1999 à 190 litres /jour actuellement, Tandis que le raccordement AEP est passé, pour la même période, de 78% à 96%. la wilaya de Constantine est, présentement, couverte à 76%, soulignant que la généralisation de l’approvisionnement en H 24 de l’ensemble des communes, d’ici à 2014.
A Constantine, le taux d’AEP en H 24, actuellement de 79 % atteindra les 100 % « dès la fin de 2014 » avec le parachèvement de plusieurs opérations en cours de réalisation, notamment la construction de 2 réservoirs d’une capacité globale de 100 000 m3, à Ali Mendjeli (El Khroub) et à la cité El Gammas (Constantine).
Il y a lieu de rappeler que la longueur du réseau d’AEP dépasse les 2 000 km pour un réseau d’assainissement de 1200 km pour un volume d’eau rejeté de 254 944m3/j dont 34 176 m3/j épurés, alors que les 229 réservoirs d’eau potable ont une capacité de 218 000 m3.
La Seaco s’est engagée à moderniser le réseau d’eau potable avec le renouvellement de 175 km de conduites AEP, dont une première tranche de 47 km en voie d’achèvement, la réalisation d’une station de décarbonatation pour le traitement des eaux chaudes du Hamma, l’inspection des réseaux d’assainissement et la résorption des points de dysfonctionnement. Ainsi, ce sont pas moins de 6000 fuites qui sont réparées chaque année. Des fuites dues généralement à la vétusté des canalisations et au dépôt de calcaire au niveau des parois des conduites. Dans ce cadre, la Seaco a entrepris plusieurs actions dont la réalisation de la station d’épuration au niveau de Hamma Bouziane ainsi que la réparation de toutes les fuites et dommages occasionnés. Ces fuites ont nécessité en 2013, 7142 interventions. Pas moins de 170 km de conduites vont être réhabilitées à travers plusieurs communes de la wilaya, à l’instar de Hamma-Bouziane, Zighoud-Youcef, El Khroub sans oublier les quartiers de la ville de Constantine. Quant aux 150 km de canalisations à renouveler, les travaux débuteront incessamment …

jeudi 3 avril 2014

Les dernières 24 heures de la SEM ?

Pendant cinq ans et demi, soit la durée de son contrat, la Seaco a fait face à d’énormes problèmes sur le terrain, sans parvenir à atteindre tous ses objectifs, en dépit des moyens déployés.
Officiellement, le contrat de la société des Eaux de Marseille (SEM) prendra fin aujourd’hui 3 avril 2014. Réuni, hier, le conseil d’administration de la société de l’eau et de l’assainissement de Constantine (Seaco), présidé par le directeur de l’hydraulique de la wilaya de Constantine, n’avait pas encore tranché au sujet du devenir de cette Spa. Mission terminée pour les Marseillais ou bien prorogation de contrat ? Pour l’heure, en tout cas, c’est le flou total du côté de la Seaco où, à quelques heures de la fin du contrat des Marseillais, les parties algérienne et française n’ont pas trouvé de terrain d’entente.

Les négociations, toujours en cours, tournent, croit-on savoir, autour d’une éventuelle prorogation du contrat de la SEM. Mais cela reste peu probable. Si les responsables de la SEM espèrent décrocher une rallonge de six mois pour l’ensemble de l’effectif administratif de l’entreprise, la partie algérienne ne leur propose pas plus de trois mois assujettis à une réduction de l’effectif à 4 personnes uniquement. Des exigences auxquelles les responsables de la Société des eaux de Marseille n’adhérent pas pour l’instant, a-t-on appris à ce sujet. En fait, les Algériens de la Seaco aspirent plutôt à prendre les rennes de cette entreprise qui deviendrait ainsi une affaire algéro-algérienne, et concrétiser les principaux objectifs assignés à la Seaco.

Créée en octobre 2008, d’un triple montage entre l’ADE, l’office national de l’assainissement (ONA) et la Société des eaux de Marseille, la Seaco n’a jamais complètement convaincu quant à la cohésion et la pérennité des actions menées depuis l’avènement des Français. Elle s’est surtout attirée les foudres des pouvoirs publics, notamment l’ex-ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, lequel stigmatisait la SEM au moindre faux pas.

En signant le «pacte de l’eau», d’un montant de plus de 3 milliards de dinars, en juin 2008, la partie française disposait de cinq ans et demi pour améliorer la gestion de l’eau sur le territoire de la wilaya de Constantine, dans le but d’en assurer une disponibilité régulière aux citoyens, et d’améliorer aussi l’efficacité des réseaux de transfert et de distribution. Mais la persistance des déperditions en eau potable, qui ont englouti près de 60 millions d’euros dans le cadre du programme de réhabilitation du réseau d’alimentation en eau potable du groupement urbain de Constantine, piloté pourtant par la Société des eaux de Marseille qui présidait un groupement d’entreprises composé de Sogerah et de China Geo-Engineering coopération (CGC), est un véritable constat d’échec pour la SEM.

lire ici article publié sur le quotidien El Watan
ici le quotidien d'Oran

mercredi 2 avril 2014

Journée du savoir : Portes ouvertes sur les stations de l’ONA

Journée du savoir : Portes ouvertes sur les stations de l’ONA

Dans le cadre de la célébration de la journée du savoir,
coïncidant avec le 16 avril de chaque année, l’Office national de
l’assainissement ouvre les portes des stations d’épuration, du 1er au 7
avril 2014, aux écoliers et aux enfants des associations...

autre lien ici

mardi 1 avril 2014

Alors part où part pas?....

Depuis des jours, c'est le même discours. Certains disent c'est bon, ils (nos marseillais) restent pour deux mois. Certains disent qu'ils vont rester encore six mois et peut être jusqu'en 2040...
D'autres disent c'est bon, ils ont été renvoyé et partirons la première semaine d'avril. Oui, notre patron marseillais sur de lui de rester, a encore posé d'autres conditions et se moque éperdument des conditions posées par la tutelle.
Moi, je ne sais plus quoi écrire et si je dois écrire une chose, le seul connard qui doit partir c'est le schizophrène qui nous a mené en bateau pendant cinq ans et le reste importe peu...
Reste que dans l'éventualité d'un départ précipité, je conseille aux personnes avisées de jeter un coup d'oeil  aux bagages de nos coopérants. Si mes informations sont vraies, nos coopérants se préparent au départ et ils ont apparemment le même réflexe que les colons d'autrefois, ils raflent tout... Des malles énormes sont prêtes à partir, remplies de choses hétéroclites et babioles. Mais le comble c'est qu'ils font le ménage de tout et on l'aura dans le cul, plus rien ne doit rester des données et travaux payés rubis sur ongles... lien
Bof, pour le peu qu'ils ont fait en cinq ans, je suis d'accord pour dire bon débarras...


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