Un blog pour discuter de la gestion de l'eau en Algérie. Le site est ouvert à tous afin de débattre où de s’exprimer sur le sujet. J’espère que vous trouverez l’information que vous cherchez, un blog à lire…

lundi 30 septembre 2013

Pétition pour l'eau potable à Gaza

Pétition pour l'eau potable à Gaza, lancée sur le journal en ligne MEDIAPART lien

https://secure.avaaz.org/en/petition/Gaza_to_run_out_of_drinking_water_by_2016/?slJiBfb

"La population de Gaza, un million six cent mille palestiniens, se trouve dans l’impossibilité de consommer de l’eau potable. La seule source à laquelle elle a accès -la nappe aquifère- arrive à saturation.

De plus, elle est extrêmement polluée par l’eau de mer et la proximité des égouts. Les Nations Unies attirent l’attention sur le fait que si aucune solution n’est trouvée pour que Gaza puisse s’approvisionner en eau saine et à un coût abordable, la nappe aquifère de Gaza sera impropre à la consommation d’ici à 2016, et définitivement inutilisable en 2020, au plus tard. (1)

Aujourd’hui, 5% seulement de l’eau, qui est extraite par les Gazaouis de la nappe aquifère qui longe la côte, est apte à la consommation.

La plupart des familles à Gaza se voient dans l’obligation d’acheter l’eau potable aux sociétés privées à un coût très haut –certaines personnes devant dépenser jusqu’à un tiers de leur revenu pour l’eau.

La portion de la nappe aquifère ne représente qu’un faible pourcentage des ressources en eau potable pour les Israéliens et les Palestiniens.

Israël continue d’exploiter 90% de l’eau fraîche pour son usage exclusif, en particulier la nappe aquifère de la montagne en Cisjordanie occupée, alors que les palestiniens y ont accès à moins de 10%. Ceci en totale violation des lois internationales lesquelles exigent que les ressources soient distribuées de façon « équitable et raisonnable » entre Palestiniens et Israéliens.

Il y a une solution. Elle passe d’abord par l’application des droits des Palestiniens à l’eau. Si les Palestiniens ont accès à la part d’eau qui leur revient et si Israël lève le blocus sur la bande de Gaza, lequel restreint l’importation d’eau ainsi que l’entrée du matériel et des marchandises nécessaires pour améliorer et réparer les infrastructures en piteux état, bien des problèmes concernant Gaza peuvent trouver une solution.

« Soif de Justice »*, campagne pour les droits des Palestiniens à l’eau a besoin de votre soutien !

Si cette pétition recueille 100.000 signatures, il sera possible de faire pression sur les gouvernements européens et nous exigerons d’eux qu’ils entreprennent des actions concrètes. N’attendez pas que la nappe aquifère de Gaza arrive à saturation ! Signez cette pétition dès maintenant et aidez-nous à faire que les droits à l’eau soient garantis dans la bande de Gaza !

mardi 24 septembre 2013

L'Affaire SEACO II...

24/09/2013 : La justice algérienne convoque 77 travailleurs de la SEACO...
l'arroseur arrosé : 77 travailleurs de la Seaco sont convoqués demain 25/09/2013 devant la justice algérienne et certains parmi eux le sont pour des faits graves de détournements de deniers publics...
Et oui, je vais vous expliquer le détail du chiffre 77 : 
le décompte est simple, si on compte les 52 travailleurs qui seront jugés en appel demain pour être coupable d'insubordination envers le directeur et pour avoir refusés de lécher le cul du boss... (un dossier vide qui s'éternise et qui dure depuis le 15 avril 2013...) 
Puis nous avons aussi 25 autres travailleurs, tous cadres supérieures de l'entreprise qui seront jugés aussi demain pour mauvaise gestion et détournement de l'argent public, nous arrivons au chiffre de 77...
Si mes informations sont justes, restera le dernier quota concernant les cadres de la clientèle qui doivent répondre de certains actes de gestion, et très bonne nouvelle madame Kiwi fait partie du lot...
Pour tout ceux qui sont croyants et qui ont vécus des injustices au sein de la Seaco, répétez au fond de votre cœur ces mots 
"حسبي الله ونعم الوكيل"
20/09/2013 Urgent : Je viens d'apprendre que la justice vient de convoquer pour le 25 septembre de ce mois ci une grande partie des cadres de la seaco pour des affaires douteuses touchant aux marchés publics traitées ces dernières années...
beaucoup de cadres,  mêmes les directeurs étrangers  sont concernés, une affaire à suivre...

Je dis bravo aux services de police qui ont fait un excellent travail d'investigation...
Une affaire dévoilée par la page Facebook Seaco Corruption, dévoilant un aspect caché de blanchiment d'argent des fonds publics... 

Les gaz de schiste

De «l'eau dans le gaz» de schiste

ALGERIA WATCH

par Sunniva Rose, Le Quotidien d'Oran, 24 septembre 2013

Classée troisième pays au monde en matière de réserves exploitables en gaz de schiste, l'Algérie projette de se lancer dans son exploitation d'ici 2024. Mais le besoin considérable de la fracturation hydraulique en eau soulève des inquiétudes, tant au niveau financier qu'environnemental.

L'exploitation des ressources naturelles importantes en gaz de schiste de l'Algérie est acceptée comme une nécessité dans un pays où les besoins en carburants sont en hausse et la production d'hydrocarbures décline. Elles sont évaluées à 707 TCF par l'EIA, l'agence indépendante de la statistique au sein du ministère de l'énergie des Etats-Unis, soit l'équivalent de de 212 mille milliards de m3. L'Algérie dont l'économie dépend à 97 % des hydrocarbures, se tourne vers l'exploitation du gaz de schiste. Selon Sid Ali Betata, président de l'Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft), l'Algérie projette de se lancer dans l'exploitation des hydrocarbures non conventionnels d'ici 2024.L' un des objectifs affirmés de la révision de la loi sur les hydrocarbures est favoriser l'exploration et la production du pétrole et du gaz non conventionnels, dont le gaz de schiste.

Emprisonné dans la roche où il s'est formé, le gaz de schiste est difficile à extraire. Aujourd'hui, la manière la plus commune d'y accéder est de fracturer la roche en injectant à très haute pression de grandes quantités d'eau mélangées à du sable et des additifs chimiques : c'est la fracturation hydraulique. La consommation totale par puits ne dépasserait pas 16.000 m3, a indiqué Mohamed Daoudi, chef du projet d'exploration du gaz de schiste à la Sonatrach, lors des journées techniques sur le gaz de schiste qui se sont déroulées mardi et mercredi à Alger.

Des réserves en eau abondantes…
Selon les défenseurs de l'exploitation du gaz de schiste en Algérie, aucun besoin de s'inquiéter concernant les réserves d'eau. Les sous-sols du bassin saharien, qui s'étire entre la Libye, la Tunisie et l'Algérie, contiennent 40 000 milliards de m3 d'eau douce, dont 70% en Algérie, soit 28 000 milliard de m3. Un ancien directeur de la Sonatrach, Mohamed Terkmani, a publié une tribune qui soutient que les besoins en eau pour l'exploitation du gaz de schiste ne représenterait qu'un chiffre dérisoire de ces réserves : 14 millions de m3, soit « 0003% des réserves en place. » Il ajoute qu'avec un soutirage de 2 748 m3/an pour les besoins agricoles, il resterait « un surplus de 4 070 millions de m3/an pour des activités supplémentaires ». Comprendre : l'exploitation du gaz de schiste. « Une chance inespérée » d'après lui, « car nous ne sommes pas prêts pour l'après-pétrole », alors que les prévisions annoncent que les réserves en pétrole algériennes s'épuiseront autour de 2020, et celles de gaz en 2030.

…mais fragiles
Mais M. Terkmani se base sur les capacités d'extraction d'eau « estimées » à plus de 6 milliards de m3/an, alors qu'elles sont d'aujourd'hui de seulement 3 milliards de m3/an. Le taux de renouvellement de l'eau présente dans le bassin saharien est de 1 milliard de m3/an. « Pendant les vingt dernières années, l'exploitation hydraulique en Algérie a été presque excessive », a concédé Rachid Taibi, directeur général de l'Agence nationale des ressources hydrauliques, lors des journées techniques sur le gaz de schiste.En outre, le gouvernement algérien prévoit l'exploitation du gaz de schiste dans des régions où les populations locales manquent d'eau, telles que Tindouf. Le Premier ministre Abdelmalek Sellal, lors de sa visité de la wilaya en juillet, avait insisté sur la nécessité d'exploiter les eaux profondes de la région à des fins agricoles. L'assistance présente lors des journées techniques sur le gaz de schiste, invitée à débattre avec les communicants, s'est inquiétée de l'utilisation de ces eaux pour le gaz de schiste, alors que la wilaya peine encore à alimenter la population locale.

Désalinisation de l'eau
La réponse offerte par un représentant de l'entreprise pétrolière américaine Baker Hughes n'a pas convaincu. « Nous pouvons prendre exemple sur Oman, où de l'eau de mer traitée a été utilisée pour la fracturation hydraulique », a-t-il expliqué. Alors que la rentabilité de l'exploitation du gaz de schiste a été récemment remise en question par l'EIA, il semble difficile de justifier des coûts additionnels de désalinisation et de transport de l'eau de mer jusqu'aux régions désertiques du Sahara algérien.Il est déjà estimé par Alnaft que l'Algérie devra investir 300 milliards US$ pour pouvoir produire 60 milliards de m3/an. Un financement qu'elle doit mobiliser sur 50 ans pour arriver à ce niveau élevé de production.

Contamination des eaux potables
En outre, plusieurs études conduites aux Etats-Unis, le plus grand exploitant de gaz de schiste au monde, ont conclu qu'il existe un lien de contamination des nappes phréatiques. « Des réserves d'eau potable du nord-est de la Pennsylvanie risquent d'être contaminées par des gaz s'échappant des puits d'exploitation des gaz de schiste », avait déclaré le géochimiste Avner Vengosh, un des auteurs d'une étude publiée en juin par l'Université Duke. Selon Mohamed Daoudi (Sonatrach), il sera nécessaire d'évaluer le risque sur l'eau potable que présente l'exploitation du gaz de schiste avant de débuter les forages en Algérie.

jeudi 19 septembre 2013

Hocine Necib voit grand...

Le ministre algérien des ressources en eau, M. Hocine Necib, a décidé de confier à l’Algérienne des Eaux (ADE), une des tâches assumées jusque-là par l’administration : la réalisation des grands projets d’eau potable.

Un an après son entrée au gouvernement comme ministre des ressources en eau, M. Hocine Necib a engagé, timidement, les premières mesures susceptibles de le différencier de son prédécesseur. Mais les décisions prises sont très prudentes, car M. Necib ne souhaite surtout pas faire de vagues : il succède au ministère des ressources en eau à M. Abdelmalek Sellal, à qui il doit précisément son entrée au gouvernement.

Pourtant, les dossiers sur lesquels M. Necib doit trancher sont extrêmement délicats. Il s’agit de l’exploitation rationnelle des ressources disponibles dans les barrages et de la gestion du service public de l’eau potable, qui appellent tous deux des mesures novatrices pour en améliorer la gestion. Le prix de l’eau potable n’a pas bougé depuis une décennie, M. Sellal se contentant de gérer le statuquo alors que le coût de l’eau explosait et que les Algériens présentaient de nouvelles exigences en matière d’accès à l’eau potable, parallèlement à l’amélioration des revenus et du niveau de vie.

M. Necib n’a guère de marge sur ces terrains. Il se contente donc d’agir à la périphérie, par des mesures de réorganisation, qui ne changeront rien de fondamental au secteur de l’eau. Une révision des prix de l’eau avant les prochaines présidentielles parait ainsi totalement exclue. De même, il semble impossible d’introduire un début de relations commerciales entre l’ANBT (L'Agence Nationale des Barrages et des Transferts) et l’Algérienne des Eaux (ADE), pour que la première vende l’eau à la seconde, en vue de passer progressivement à des relations marchandes. Ce schéma, pourtant envisagé depuis des années, a été abandonné par M. Sellal quand il était ministre des ressources en eau. Son successeur ne peut l’envisager, à l’approche des présidentielles.

Bilan mitigé de la gestion déléguée

Dans les grands contrats passés avec des compagnies étrangères pour gérer la gestion de l’eau potable dans les grandes villes, M. Necib devrait se contenter de prolonger la démarche de M. Sellal, malgré le résultat mitigé de ces contrats. A Alger, où la situation était meilleure au moment même de la signature du contrat avec le français Suez, la distribution d’eau potable est relativement satisfaisante, mais à Oran et Constantine, les progrès sont laborieux, alors qu’à Annaba, c’est le fiasco, qui a mené à la résiliation du contrat avec l’allemand Gelssen-Wasser.

Face à cette situation, M. Necib tente de marquer le secteur de son empreinte, tout en tenant compte de toutes les pesanteurs qui l’entourent. Il s’oriente donc vers les principales entreprises de son secteur, l’ADE et l’ANBT. A l’ADE, la démarche de M. Necib a débouché sur une mesure qui risque d’avoir un impact important. L’entreprise est désormais dotée de trois divisions, nettement séparées. La division service public sera chargée de la partie relative à la gestion et à l'exploitation des systèmes et ouvrages d'eau potable, de la clientèle, de la qualité de l'eau, du patrimoine et de la gestion déléguée. Il s’agit, en gros, de la mission actuelle de l’entreprise. La division développement est, quant à elle, chargée des investissements et de la réalisation des programmes de développement, alors que la division soutien aux activités aura pour mission l'appui des activités d'accompagnement des deux premières divisions. La nouveauté consiste à réparer une anomalie, avec la création de la division développement, qui prend en charge les actions menées actuellement par l’administration. Le nouveau schéma vise ainsi à confier à l’ADE la gestion de la distribution, et à engager éventuellement les corrections nécessaires, alors que jusque-là, c’est l’administration, avec sa bureaucratie, qui se chargeait des projets.

Hésitations

Officiellement, la nouvelle organisation vise à « assurer un service public de l'eau potable plus performant », et à « adapter l'entreprise aux conditions du terrain, et de la redimensionner par rapport aux enjeux et défis auxquels l'entreprise doit faire face en termes d'efficacité opérationnelle, de modernisation et de performance ». Mais au final, il s’agit d’un transfert de la gestion de fonds publics, soustraits à l’administration et confiés à une entreprise, l’ADE.

Pour la gestion des barrages, la décision n’est pas encore prise. Toutefois, M. Necib a indiqué que le projet a été soumis au gouvernement, dont il attend l’aval. La décision sera-t-elle prise en Conseil des ministres, en conseil du gouvernement, ou en conseil interministériel ? M. Necib n’a pas précisé. Le ministre a toutefois indiqué que la réforme envisagée porte notamment sur le financement des barrages, ce qui suppose probablement un réexamen de la loi sur l’eau ou de la loi de finances. Ce qui n’est pas près de se produire, avec les dysfonctionnements liés à l’état de santé du président Abdelaziz Bouteflika.

M. Necib a indiqué qu’il veut assurer « l’amélioration et le renforcement des moyens de gestion et d'exploitation des barrages, sur la base des normes internationales en vigueur ». Ce discours traduit généralement une volonté d’introduire une dose de normes marchandes dans le service public, ce dont le gouvernement algérien parle depuis une décennie sans jamais oser le faire.

lire ici l'article original

lundi 9 septembre 2013

analyse-débats-sur-la-meilleure-manière-d-améliorer-l-accès-à-l-eau-et-l-assainissement-après-2015

Analyse: Débats sur la meilleure manière d’améliorer l’accès à l’eau et l’assainissement après 2015
STOCKHOLM, 9 septembre 2013 - Un groupe de réflexion de haut niveau sur la question de l’eau a appelé le 6 septembre à mettre au point des objectifs pour succéder à ceux du millénaire pour le développement afin de mieux utiliser les maigres ressources en eau, de concrétiser le droit à l’eau potable et à l’assainissement et de renforcer la résilience aux sécheresses et aux inondations avant 2030.
http://www.irinnews.org/fr/report/98716/analyse-débats-sur-la-meilleure-manière-d-améliorer-l-accès-à-l-eau-et-l-assainissement-après-2015

samedi 7 septembre 2013

SEACO - Le Directeur fait le Paon...

Alimentation en eau des établissements scolaires : L'APC et la SEACO s'entendent sur un échéancier
L'accord intervenu mercredi dernier en fin d'après-midi au cours de la rencontre entre l'APC de Constantine et la Seaco relatif au règlement des problèmes de coupures d'eau dans les établissements scolaires, des fuites d'eau potable et de l'assainissement dans les quartiers ainsi que l'évacuation des eaux pluviales, a suscité beaucoup de commentaires parmi la population. «Les protagonistes ont profité de la rentrée scolaire pour en faire un événement, alors qu'en réalité cela relève du travail ordinaire de chaque partie», ont faits remarquer avec sérieux les uns. En tout cas, cela n'a pas empêché le cabinet du maire de produire un communiqué dont les termes évoquent avec optimisme tous les problèmes de coupures d'eau dans les écoles, qui ne seront plus qu'un mauvais souvenir parce que «la Seaco vient de s'engager, suite à un engagement de la municipalité de régler ses dettes, à assurer l'alimentation continue des établissements de l'éducation qui étaient privés d'eau (ndlr, c'est-à-dire la majorité des 374 lycées, 262 CEM et 31 lycées que compte la wilaya, comme l'a indiqué le 2 septembre dernier dans une émission à la radio un représentant de la direction de l'éducation), à cause d'une facture de consommation impayée d'un montant de 4 milliards de centimes».
A ce propos, le représentant de l'APC, le Dr. Abderrahmane Abdaoui qui occupait l'intérim du maire au moment de la rencontre de mercredi avec le directeur général de la Seaco, M. Michel Valin, et ses collaborateurs, a affirmé : «Nous avons convenu avec la Seaco d'un échéancier pour régler cette créance que nous avons héritée de la précédente mandature de l'APC». Pour le traitement des autres problèmes de fuites d'eau potable, d'assainissement et de débouchage des avaloirs, cet élu a révélé, dans le communiqué du cabinet diffusé mercredi, dont nous avons reçu une copie, que l'APC et la Seaco ont convenu aussi de lancer, à partir du lundi 8 septembre courant, une opération conjointe au niveau de la cité Boussouf, prise comme quartier pilote, pour recenser et régler les problèmes qui se posent à la population dans les domaines de l'alimentation en eau potable et de l'assainissement. Dans le même temps, il sera procédé à un inventaire des avaloirs et des réseaux d'assainissement à traiter afin d'éviter les inondations occasionnées par les chutes importantes des pluies qui surviennent généralement en début de l'automne. Malheureusement, cela ne soulève guère l'enthousiasme des Constantinois qui se montrent très déçus par le travail accompli sur ce plan. Des citoyens de Sidi Mabrouk nous ont contactés avant-hier pour dénoncer les nombreuses fuites d'eau qui continuent encore à défrayer la chronique.
lire ici l'article original

Et grâce au soleil, l’eau devint potable - Agoravox TV

Et grâce au soleil, l’eau devint potable - Agoravox TV

jeudi 5 septembre 2013

Algérienne Des Eaux : Création de trois nouvelles divisions

Algérienne Des Eaux : Création de trois nouvelles divisions
Algérie - Réorganisation de l’Algérienne des eaux
Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a présidé lundi la cérémonie de création de trois nouvelles divisions au sein de l’Algérienne des eaux (ADE) pour ’’assurer un service public de l’eau potable plus performant’’, indique mardi le ministère des Ressources en eau.

Tout en relevant les effort accomplis par l’ADE ces dernières années, le ministre a exhorté les responsables de ces trois nouvelles divisions à oeuvrer pour "l’amélioration de la qualité du service public et de faire preuve de dynamisme et de disponibilité", précise un communiqué du
ministère.

Pour ’’répondre aux attentes des usagers’’, le ministre a décidé "de mettre en place une nouvelle organisation à l’ADE pour un service de l’eau potable plus performant’’, ajoute-t-on de même source.

Cette réorganisation vise, selon le ministère, à "adapter l’entreprise aux conditions du terrain et de la redimensionner par rapport aux enjeux et défis auxquels l’entreprise doit faire face en termes d’efficacité opérationnelle, de modernisation et de performance".

La nouvelle configuration de l’ADE vient également "traduire, dans les faits, la volonté du gouvernement de situer l’amélioration et la modernisation du service public parmi ses plus grandes priorités".

"Cette nouvelle organisation est conçue de manière à séparer la mission service public qui est une fonction fondamentale de l’entreprise de la mission maîtrise d’ouvrage déléguée, qui est une activité secondaire", explique-t-on.

Ainsi, l’ADE sera organisée en trois grandes divisions :
- la division service public, chargée notamment de la partie relative à la gestion et à l’exploitation des systèmes et ouvrages d’eau potable. Elle sera également chargée de la clientèle, de la qualité de l’eau, du patrimoine et de la gestion déléguée.

- La division développement est, quant à elle, chargée des investissements et de la réalisation des programmes de développement.

- La division soutien aux activités aura pour mission l’appui des activités d’accompagnement des deux premières divisions.

A l’issue de la cérémonie d’installation des responsables de ces trois divisions, M. Necib a notamment fait remarquer qu’’’en dépit des efforts accomplis ces dernières années, la marge de progression reste importante, notamment en matière de qualité de service public’’.

dimanche 1 septembre 2013

La chloration de l'eau est-elle vraiment inoffensive ? - AgoraVox le média citoyen

La chloration de l'eau est-elle vraiment inoffensive ? - AgoraVox le média citoyen
Un rapport de l’institut de veille sanitaire français daté de 2008 a été passé sous silence bien que ses conclusions soient pour le moins inquiétantes. Il faut en effet savoir que le chlore libre utilisé pour désinfecter l’eau réagit avec la matière organique présente dans les eaux brutes et donne naissance à des dérivés qui restent présents dans l’eau. L’étude présentée dans ce rapport décrit l’évolution de trois familles de sous-produits de chloration (les trihalométhanes, les acides haloacétiques et les haloacétonitriles), observée dans quatre réseaux d’eau français en 2006 et 2007. Concernant les trihalométhanes les concentrations doublent en moyenne entre l’usine et le robinet. En effet, le chlore libre s’évapore dans le réseau. Aussi du chlore est réinjecté dans certains points des canalisations.

La réglementation européenne impose une valeur limite sur les trihalométhanes dans l’eau potable. Mais la majorité des contrôles sont effectués en sortie d’usine de traitement et non sur le réseau. La réglementation sur l’eau potable ne définit d’ailleurs pas un niveau précis de chlore limite acceptable. Les seules recommandations imposent une teneur minimale en chlore libre de 0,3 mg/L à la sortie des usines de traitement. Globalement, il apparaît que la maîtrise de la teneur en chlore dans le réseau est peu fiable. Ce qui provoque des risques de sous-dosage qui donne lieu à des épidémies de gastro-entérites dans la population ou encore à des surdosages dont les conséquences sont mal évaluées au niveau des sous-produits.

La gestion SEACO en images...

en images, je vous montre quelques fuites d'eau au niveau des communes de Constantine. les originaux viennent de me parvenir, j'en remercie l'auteur...
comme toujours, la gestion de la seaco est mise à l'honneur, ces fuites remontent pour certaines à quelques mois et restent en l'état... pendant ce temps la seaco se prépare pour la fête...
la seaco en fête...

Le ministre des ressources en eau à Mila et Oum El-Bouaghi : « La conduite d’urgence alimentera trois wilayas de l’Est »

Le ministre des ressources en eau à Mila et Oum El-Bouaghi : « La conduite d’urgence alimentera trois wilayas de l’Est »

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