Un blog pour discuter de la gestion de l'eau en Algérie. Le site est ouvert à tous afin de débattre où de s’exprimer sur le sujet. J’espère que vous trouverez l’information que vous cherchez, un blog à lire…

mercredi 29 avril 2015

L’ONA va créer trois filiales...

L’ONA entame sa quinzième année d’existence avec la noble ambition de s’agrandir davantage.

Au bout de 14 ans d’activité, l’Office national d’assainissement (ONA) tend à s’agrandir davantage en s’orientant vers la création de trois filiales dès cette année. Cette entreprise publique veut renforcer sa vocation à la fois de prestataire de services et de travaux. L’une des filiales se chargera d’ailleurs de conduire et réaliser les travaux en relation avec les métiers de l’assainissement, mais aussi ceux liés à l’engineering.

L’autre filiale portera sur la recherche et le développement, tandis que la troisième se collera la mission de la promotion de l’intégration nationale en rapport avec l’assainissement.... suite
voir lien sur le Quotidien El Watan

Necib présente la stratégie du secteur devant la commission de l’hydraulique : L’accès à l’eau pour tous, une priorité nationale

Necib présente la stratégie du secteur devant la commission de l’hydraulique : L’accès à l’eau pour tous, une priorité nationale

mardi 21 avril 2015

« L’eau dessalée est de bonne qualité"

Hocine Necib au forum de Liberté « L’eau dessalée est de bonne qualité"
Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, était l’invité du forum de Liberté de ce lundi 20 avril. Il est revenu au cours de son intervention sur la gestion déléguée de l’AEP (Alimentation en eau potable) dans la capitale et dans certaines wilayas, ainsi que sur les barrages. Questionné par un citoyen sur la qualité d’eau consommée par les algérois, le ministre a affirmé que « l’eau dessalée est de bonne qualité, parce que nous maitrisons les paramètres de qualité ». Tout en ajoutant que « dans tous les pays du monde cette eau est un luxe. Vous allez dans les pays du Golf, ils ne boivent que de l’eau salée », a-t-il indiqué. Le ministre a ajouté sur le même sujet que l’eau du robinet est un mélange d’eau dessalée, avec celle du barrage ou du forage.



Concernant le gaspillage et l’utilisation de la ressource en eau d’une manière irrationnelle le ministre a indiqué que c’était son « souci quotidien ». Pour remédier à ce phénomène Hocine Necib a étalé les mesures qui ont été prises par son ministère. « Pour le gaspillage il y a deux niveaux d’interventions, nous sommes en train de travailler sur la sensibilisation (…) le deuxième niveau d’intervention concerne les pertes. « Il y a des pertes physiques (tuyaux, branchements) », a-t-il précisé. Néanmoins, ces efforts n’ont pas encore porté leurs fruits. « Je dois vous avouer qu’en terme de comportement la progression est encore timide », a-t-il regretté.

Le ministre est également revenu sur le prix du service de l’eau « En terme d’approche globale nous sommes en train d’agir par l’offre comme on le fait pour le logement social, mais on n’agit pas sur la demande. C’est pour vous dire indirectement que le tarif ne va pas changer ». Et d’ajouter : « politiquement c’est comme ça, on ne touche pas au tarif de l’eau ».
Imène AMOKRANE publie sur le Quotidien Liberte lien

samedi 18 avril 2015

Algérie : Les capacités de réutilisation des eaux usées traitées dans l’irrigation portées à 325 millions m3

 



samedi 18 avril 2015 : Les capacité de réutilisation des eaux usées traitées dans l’irrigation agricole ont été portées de 45 millions m3 en 2012 à quelque 325 millions m3 en 2014, à l’échelle nationale, selon l’Office national d’assainissement (ONA).

Il est également attendu l’entrée prochaine de 25 stations d’épuration en phase de réutilisation des eaux usées traitées dans l’irrigation de 70.000 hectares de terres agricole, notamment dans les régions de Béni-Senous, Baraki, Ben-Ziad, Chelghoum-Laid, Tipaza, Ouargla, Saida, Tiaret et Chleff, ont fait savoir aussi les techniciens de l’ONA, lors d’une rencontre régionale, jeudi à Naâma, regroupant les représentant les wilayas de Laghouat, Saida, Bechar, El-Bayadh et Naâma.

La rencontre a été aussi l’occasion de faire connaitre divers dispositifs d’irrigation agricole, autres que le recours aux eaux de barrages et aux nappes hydriques souterraines, tels que les procédés de réutilisation des eaux traitées par lagunage naturel et par le biais des stations d’épuration et de traitement, pour l’exécution de projets agricoles respectueux de l’environnement, selon les standards internationaux.

Selon Nassima Bouamama, chargée des stations de traitement des eaux à l’ONA, un plan d’action associant l’ONA et l’Office national d’irrigation et de drainage (ONID), est en cours d’étude pour explorer des opportunités de mobilisation des eaux traitées dans l’irrigation de grandes surfaces, dans cinq grands bassins hydrographiques du pays.

Les participants à cette rencontre régionale ont débattu aussi des laboratoires habilités à assurer des analysés de qualité de l’eau, aux plans microbiologiques et physico-chimiques, pour définir les normes techniques de l’eau et les types de cultures pouvant être irrigués avec des eux traitées, et ce au niveau de 15 stations d’épuration en exploitation à travers le pays.

Les quantités d’eaux traitées et réellement réutilisées dans l’irrigation agricole, ont atteint en 2013 un volume de 19 millions m3 pour l’irrigation de 12.000 hectares, a-t-on signalé.

D’autres utilisations existent pour les eaux usées traitées, telles que la lutte contre les incendies, le nettoiement des villes, la production d’engrais naturels, en plus de l’Industrie, à l’exemple de la station d’épuration de Jijel qui fournit actuellement quelque 15.000 m3 d’eaux traitées pour les besoins d’une tannerie, a-t-on souligné dans le cadre des efforts menés dans le cadre du développement durable. 


lien APS

lundi 13 avril 2015

Scandale de la SEATA à Annaba : deux ex-DG impliqués

lundi 13/04/2015 : Deux ex-DG de la SEATA, parmi la vingtaine d’autres présumés impliqués dans le scandale lié au détournement de fonds de 260 millions de dinars algériens, seraient également poursuivis pour association de malfaiteurs. Selon des sources sûres, les auteurs présumés auront à répondre des chefs d’inculpation allant de l’abus de pouvoir, la corruption et la mauvaise compréhension de la loi et du règlement intérieur régissant les activités de ladite société, à l’incompétence et association de malfaiteurs. Le magistrat instructeur en charge de ce dossier, mis au jour au lendemain de la découverte du détournement à l’origine du préjudice causé à la société, aurait réuni l’ensemble des éléments pour une telle qualification à l’encontre de ceux à qui il est reproché également leur incompétence. Ces deux responsables, dont l’un avait été nommé à ce poste au lendemain de la rupture du contrat de partenariat avec les Allemands et le second à la suite du limogeage de son prédécesseur pour de nombreuses fautes, dont la mauvaise gestion, se retrouvent aujourd’hui pointés du doigt et contraints de rendre compte à la justice, tout autant que le reste des auteurs présumés. Pour le représentant du ministère public, ces arguments devaient amener son homologue de la chambre d’accusation à prononcer une ordonnance pour leur mise sous mandat de dépôt. Et c’est dans ce sens qu’il s’est pourvu en cassation. Cette affaire continue, pour l’heure, d’alimenter les discussions des Annabis qui accordent un vif intérêt à tout ce qui touche à leur ville, de loin ou de près.
K. B. article publié par le quotidien d’Algérie lien

Articles les plus consultés (30 derniers jours)

Articles les plus consultés (toutes les périodes)

back to top