Un blog pour discuter de la gestion de l'eau en Algérie. Le site est ouvert à tous afin de débattre où de s’exprimer sur le sujet. J’espère que vous trouverez l’information que vous cherchez, un blog à lire…

La SEACO à l'honneur...

reprise : L'Alimentation en Eau Potable : Exemples En chiffres
Constantine (12 communes : Algérie 2012) - 976.000 habitants : approximativement 116 millions de m3 /an (* : réelle 150 millions m3/an)
Alger (57 communes : Algérie 2012) - 3.000.000 habitants : approximativement 430 millions de m3/ an 
Oran (26 communes : Algérie 2012) - 1.054.078 habitants : 124.millions de  m3/ an
Marseille Provence Métropole (18 communes de France) - 1.038.521 habitants : 100,8 millions de m3/ an 
Paris (France) - 2.234.105 habitants : 198 millions de m3/ an
Berlin (Allemagne) - 3,4 millions habitants : 189 millions de m3/ an
SONEDE (total Tunisie) 10.629.186 habitants : 387 millions de m3/ an
Rabat + Salé + Casablanca (Maroc) : 5.500.000 habitants : 260 millions de m3/ an

(*) : Barrage Béni Haroune : 230.000 m3/j - Sources Sud de Constantine : Boumerzoug, sources fezguia et autres forages : environ 1000 l/s soit 86400 m3/j - Source Nord de Constantine : du Hamma et Zaoui et autres forages environ : 1000 l/s soit 86400 m3/j - Autres forages : 100 l/s soit 9000 m3/j

La SEACO à l'Honneur : Je vous propose maintenant deux articles publiés récemment,  l'un publié en avril 2013 sur le quotidien électronique ElDjazairCom , cet article met parfaitement à l'honneur la Seaco...
et un autre article publié en Avril 2011 sur le quotidien El Acil, qui à l'inverse du premier article est un vrai pamphlet satirique sur la Seaco. 
Le point commun de ces deux articles c'est qu'ils sont écrit par le même journaliste... Mr. Mebarki Mohamed
Deux articles en faite très contradictoire, ils apportent néanmoins un éclairage sur la société Seaco et son parcours.
Le premier article écrit pour le compte du journal ElDjazaïrCom, un magazine électronique qui a une ligne éditoriale pro-gouvernementale, qui a pour principale mission de mettre en valeur les institutions et Entreprises étatiques algériennes ainsi que les  dirigeants qui sont au commande de ces entités.
Mr. Mebarki, grâce à son talent reconnu a parfaitement mis en valeur la Seaco et son parcours soit disant sans fautes, et ce depuis que la SEM de Marseille en a pris les commandes.

Je reconnais que pour cette fois ci, le service communication de la Seaco, à mis les bouchés doubles pour collaborer à la réalisation de cet article. Grace à la persévérance et la générosité du directeur communication de la Seaco, ce dernier a réussi à faire oublier aux lecteurs Constantinois le pamphlet satyrique qu'avait écrit Mr. Mebarki sur la société Seaco (" ça ne coule pas de source " publié le 19/01/2011 sur le quotidien El Acil ).

Comme disent mes collègues, il a fallu offrir énormément de Djouzia pour faire passer la pilule... 

La Seaco, entame sa dernière année de gestion, la lecture de l'article montre le fossé entre le discours officiel et la réalité. Dommage de voir tant de responsables algériens, techniciens de surcroît, faire grandes courbettes et ne pas maîtriser leurs dossiers...


SEACO et Société des eaux de Marseille Le défi constantinois et le contrat de performance Par Mohamed Mebarki, ElDjazaïrCom du mois d'Avril 2013  lien
Créée en 2008 selon le même schéma qui a donné naissance à Seaal, la Société des eaux d’Alger, et Seor, la Société des eaux d’Oran, Seaco, la société des eaux de Constantine, gérée en système de délégation comme c’est le cas pour l’Oranie (Agbar) et l’Algérois (Suez) par la Société des eaux de Marseille, est obligée aujourd’hui de sortir les gros moyens afin d’honorer son contrat qui arrivera à expiration en 2013. Ses responsables sont déterminés, et ils l’ont dit au ministre Sellal lorsque celui-ci s’est entretenu avec eux lors de sa visite d’inspection effectuée dans la capitale de l’Est, le 31 janvier dernier. Même si quelques griefs ont été retenus contre eux, les responsables de la SEM n’ont nullement cherché à se dissimuler derrière des justifications préfabriquées et circonstancielles. Bien au contraire, ils ont tenu à défendre crânement leur bilan et à exposer avec assurance tous les objectifs qu’ils comptent atteindre durant les deux prochaines années. Pour ceux qui ne connaissent pas Constantine, il est utile de préciser que la cité du Vieux Rocher présente des caractéristiques topographiques et démographiques qui n’existent ni à Alger ni à Oran. Ce qui engendre des difficultés supplémentaires de tout ordre et sur tous les plans. Nullement perturbés par certaines critiques formulées par des journalistes qui leur reprochent notamment le retard dans la concrétisation de l’objectif du H24, c'est-à-dire la desserte en eau potable en continu, ils ont préféré se concentrer sur l’essentiel que de s’ « amuser » à rédiger des mises au point et des éclaircissements. De son côté, le ministre des Ressources en eau est mieux placé pour saisir au détail près les difficultés rencontrées par l’ensemble des opérateurs qui activent actuellement dans les domaines de l’eau potable et de l’assainissement. La raison est très simple : Abdelmalek Sellal a vécu longtemps à Constantine. Il connaît parfaitement l’état des lieux et possède en conséquence toutes les données qui lui permettent d’apprécier une situation relevant de son secteur sans se laisser « distraire » par les commentaires superficiels. Ce n’est certes qu’un simple détail, mais il est largement suffisant pour que le dialogue entre lui et les responsables de la Seaco, l’Algérienne des eaux et l’Office national d’assainissement soit entièrement débarrassé des « déchets ». Si aujourd’hui, la desserte en continu a atteint un taux de 54% pour l’ensemble de la wilaya de Constantine, cela n’est certainement pas dû au hasard. En 2009, la desserte en continu ne touchait que 29% de la population. Pour pouvoir apprécier ces chiffres à leur juste valeur, il faut d’abord réunir certains éléments d’analyse liés aux spécificités géologiques d’une ville et d’une wilaya qui font face à une multitude de contraintes naturelles, urbaines et démographiques. C’est très facile de se lancer dans des comparaisons entre Constantine d’un côté et Alger et Oran de l’autre pour conclure hâtivement que Cirta accuse un grand retard dans le domaine de l’eau potable et que la Société des eaux de Marseille n’a pas honoré son contrat. En tout cas, ce n’est pas l’avis du ministre des Ressources en eau, même s’il s’est montré intransigeant et exigeant lors de son dernier déplacement dans la capitale de l’Est. Sellal est, on ne peut, mieux placé pour parler du calvaire vécu par la population constantinoise pendant des dizaines d’années. Il n’a certainement pas oublié ces scènes d’un autre âge que la Seaco a réussi à effacer de la vie quotidienne des Constantinois. A cette époque, les ménages se sacrifiaient afin de se munir d’une pompe à eau électrique et d’un réservoir devenus par la force des choses indispensables et dont les prix étaient hors de portée de la majorité écrasante qui continuait à quémander l’eau potable aux portes des mosquées. Il arrivait que des quartiers entiers soient privés d’eau pendant plus d’une semaine ! Aujourd’hui, cette époque est bel et bien révolue et la situation s’est nettement améliorée depuis la mise en œuvre de la formule de gestion déléguée conduite par la Société des eaux de Marseille. La desserte journalière est passée de 12 heures en avril 2009 à 16 heures en novembre 2011. Le nombre des abonnés a, quant à lui, grimpé de 130 790 en 2009 à 146 728 en 2010 pour atteindre 164 986 en 2011. Parallèlement à l’augmentation du nombre des abonnés, le volume d’eau facturé est passé de 23 millions de m3 en 2008 à 28 millions de m3 en 2011. Chargée d’accompagner et de superviser cette évolution positive, l’Algérienne des eaux, qui contrôle le plus grand barrage du pays ainsi que l’ensemble des transferts géants qui en dépendent, veille scrupuleusement à la réussite du partenariat public-privé. Son chef de zone, Sid Ali, résume à lui seul toute la détermination et la disponibilité des pouvoirs publics à réunir l’ensemble des conditions favorables pour permettre à l’opérateur étranger de passer au stade supérieur de sa mission. Travailleur, compétent et discret, l’homme passe pour être l’une des chevilles ouvrières du secteur de l’eau à Constantine. Le petit centre de formation interne destiné aux travailleurs de l’entreprise qu’il a mis sur pied au sein de la direction générale de l’ADE renseigne sur l’état d’esprit de ce cadre qui ne fait pas beaucoup de bruit mais dont les actes s’inscrivent toujours dans une vision anticipative. Le pragmatisme dont il fait preuve et qui n’enlève rien de ses qualités humaines intrinsèques prouve que les Algériens sont réellement entrés dans une nouvelle phase marquée par l’émergence d’une conception économique et commerciale de l’eau dont l’originalité et le mérite apparaissent à travers la promotion et la préservation de l’accès à cette denrée vitale considérée comme un droit inaliénable. Le mérite de la SEM réside lui aussi dans le fait que cet opérateur a pu intégrer sa politique et ses objectifs dans cette optique défendue par le président de la République en personne. Tout en assurant le travail de réhabilitation et de rénovation des installations, la Seaco continue d’assimiler progressivement les méthodes modernes d’organisation en améliorant l’image de marque d’une entreprise « condamnée » à réussir. Ses responsables contractuels qui préfèrent se présenter comme des expatriés, une manière d’éviter le mot étranger et de prouver leur intégration totale dans une société où ils se sentent tout à fait à l’aise, ont reçu de la part du ministre des Ressources en eau l’autorisation de signer des contrats de gré à gré au cas où l’appel d’offres pour la création du futur centre de formation tarderait à aboutir. Libéré de cette contrainte bureaucratique, le projet ne tardera pas sûrement à être lancé. Il faut rappeler qu’il constitue l’une des clauses les plus importantes du contrat de gestion déléguée. Aujourd’hui plus que par le passé, la mise sur pied de cette structure est motivée par l’augmentation des effectifs qui sont passés de 1095 travailleurs à 1759 travailleurs faisant de Seaco l’un des plus grands pourvoyeurs d’emplois dans le Constantinois, le développement de la formation continue interne et l’accroissement de l’internalisation de la formation. En insistant sur la concrétisation en toute urgence de ce projet capital, le ministre des Ressources en eau, qui s’est engagé personnellement à tripler les capacités de stockage de la wilaya de Constantine, vient d’adresser un message clair à l’ensemble des opérateurs, y compris les étrangers, leur signifiant que la reconduite de la formule de gestion déléguée dépend esentiellement de ce volet qui constitue sans aucun doute un paramètre essentiel de la sécurisation de l’approvisionnement en eau potable à long terme. « Les ressources existent et sont en train d’être multipliées. Constantine n’aura plus de problème d’eau durant les vingt ans à venir », a-t-il dit lors d’un court point de presse tenu au niveau de l’ancien siège de la wilaya. Les responsables de la SEM n’avaient nullement besoin de « décodeur » pour déchiffrer un message aussi lipide qui ne laisse aucune place aux nuances. Un contrat de performance est un contrat de performance. Mohamed Mebarki


"Ça ne coule pas de source…" 
Un article écris et publié le 19/01/2011 par le journaliste chroniqueur Mohamed Mebarki, sur le quotidien El ACIL.  
Ci-après, le texte de l’article « Ça ne coule pas de source », un article sur la SEACO de Constantine. En résumé, je vous reprend l'article qui fat une synthèse des déboires que traînent les patrons de la SEACO à Constantine, voici le texte : « … Mais une histoire d’eau m’a forcé. Il faut le reconnaitre. A plonger dans cet océan de scandales « lâché » par les patrons de la Marseillaise des Eaux, ces nouveaux colons qui sont en train de faire couler SEACO, sans qu’aucun responsable n’ose pour le moment les remettre a leur véritable place. A ma connaissance, il y a des élus dûment mandatés pour s’impliquer dans ce genre de problèmes afin d’éviter à leur électeurs, s’ils les considèrent comme tels, de se noyer dans la mer de mensonges et tricheries sur la quelle tente d’embarquer le big boss de cette entreprise qui a frisé la liquidation pure et simple, et ses proches collaborateurs. D’ailleurs pour qui se prennent-ils en refusant avec une inélégance inouïe de répondre à une invitation de la radio locale ? En deux ans et demi d’un contrat qui tire sur cinq années, des quartiers continuent d’être approvisionnés irrégulièrement et toute une génération d’adolescents ne sait pas encore qu’est ce que c’est  qu’un robinet qui coule ! J’ai entendu dire que big boss touche l’équivalent de 326 millions de centimes en devises fortes et mensuellement. Au vu du nombre effarant des fuites d’eau potable et au vu du désastre humain dans lequel nage l’entreprise Seaco, je pense qu’il y a suffisamment de raisons pour interpeller ce « monsieur », ce pacha qui coule des jours heureux dans une somptueuse villa dont le prix de location dépasse l’entendement. je n’éprouve aucune haine particulière envers les Français, mais quand je vois notre argent s’engloutir dans les comptes bancaires de ces messieurs qui viennent de l’autre coté de la Méditerranée juste pour pomper nos finances, sans aucune contrepartie, je ne peux que constater les dégâts et crier au voleur, en espérant qu’un vrai responsable intervienne en toute urgence. Pour le un dixième de ce que gagne mensuellement ce monsieur, je suis capable de ramener l’eau potable d’In Salah jusqu'à Constantine en assurant à une population de 800 000 âmes un approvisionnement H 24. Pour le même salaire et avec la même périodicité,je ramènerai l’eau de la planète Mars ; j’assurerai aux Constantinois une ration quotidienne d’eau minérale ; non, mais vous vous rendez compte ! Pour ce salaire, je suis capable de doter l’Algérie d’un second puits d’eau de Zemzem, après celui de la Mecque ! Et puis, je le dis, cette Marseillaise des Eaux porte gravement préjudice à la Marseillaise. Pour un simple contrat moral, de prestigieuses compagnies occidentales dont il n’est pas nécessaire de citer le nom ont réalisé des miracles en Asie et en Amérique Latine. Pour un salaire pareil, je fonderai une société de pompiers chargée de surveiller chaque algérien qui menacerait de s’immoler !. » Voici l’article dans sa presque intégralité écrit par le chroniqueur Mohamed Mebarki

La SEACO en bref : 
- Ce contrat a été évalué à plus de 28 millions d'euros, soit quelque 56 milliards de centimes.
Rappel des objectifs contractuels :  
Le contrat, basé sur un partenariat original s’appuyant sur un management mixte destiné à piloter la Seaco, englobe, outre 
la généralisation de la desserte en H 24, l’élaboration d’une nouvelle politique des ressources humaines, le développement de la formation, la création d’un centre de formation aux métiers de l’eau, le développement du SIG eau potable, la création d’un SIG assainissement et d’un centre de télégestion et la mise en place d’un système informatique de gestion clientèle.


Les chiffres de la Seaco en 2012 : Il est prévu le renouvellement de 170 km de conduites d’AEP d’ici fin 2013 (sur 12000 km que compte la wilaya), la réhabilitation de 13 stations de pompage, l'amélioration des réseaux d'AEP et une optimisation de la qualité de l'eau distribuée aux 168.000 abonnés que compte la wilaya.
- L’eau a coulé en 2012 au robinet des Constantinois près de 18 heures par jour en moyenne sur le territoire de la wilaya et le H24 reste évidemment l'objectif majeur.
- près de 6 000 fuites ont été réparée en 2012 (4 000 l’ont été en 2011). Pas moins de 170 km de conduites vont être réhabilités à travers plusieurs communes de la wilaya, à l'instar de Hamma Bouziane.
- près de 150 points noirs du réseau d’assainissement.
- la SEACO exploite environ 100 millions de m3 par an, dont les 2/3 proviennent du barrage de Beni Haroune et le 1/3 parvient des autres sources.
- La dotation quotidienne en eau potable par habitant, dans la wilaya, est passée de 155 litres/jour en 2009 à 190 litres /jour en 2012, la wilaya de Constantine est couverte à 65 % en eau potable en continu et la généralisation de l'approvisionnement en H24 de l'ensemble des communes, est prévu d'ici à 2014.
A Constantine-ville, le taux d'AEP en H 24/24, actuellement de 60 % atteindra les 100 % " dès 2013" avec le parachèvement de plusieurs opérations en cours de réalisation, notamment la construction de 2 réservoirs d'une capacité globale de 100 000 m3, à Ali Mendjeli (El Khroub) et à la cité El Gammas (Constantine),  selon le même responsable.a précisé à l’APS M. Ali Hammam (directeur des ressources en eau de Constantine).
- 22 agences commerciales ont été ouvertes dans les communes de wilaya pour mettre la Seaco au plus près des besoins de ses clients. Un numéro gratuit a été ouvert pour faciliter la prise en charge de l’ensemble des problèmes des citoyens et tout en passant de près de 1000 à 1800. La Seaco reçoit en moyenne 2000 appels par mois des abonnés qui ont trait à des réclamations.
- la SEACO réalise en moyenne entre 18 et 20.000 poses de compteurs.
- les grands efforts consentis en termes d’informatisation des différents services de Seaco qui offre désormais, aux abonnés, la possibilité  de régler leurs factures dans n’importe quelle agence qui s’ajoute, faut-il le rappeler à un numéro  vert à savoir le "30 25" consacré à la lutte contre les fuites, le dépannage, facturation et autres services. A  noter que la Seaco a enregistré un chiffre d’affaires de 900 millions de dinars et  qu’elle s’attend à des recettes avoisinant 1,4 milliard de dinars, pour l’année 2012 lien.

La vraie réalité de la Seaco en bref : Après 4 ans 1/2 de gestion, les principaux termes du contrat n'ont pas été honorés, en voici les principaux :
- l'école de formation reste à l'état de projet : le contrat stipule la création d'un centre d'apprentissage que les Français ont qualifié «d'école des métiers», qui assurera des formations techniques relatives à la gestion moderne des outils, des hommes et des ressources et dispensera aux cadres algériens des cours de management correspondant à chacune des activités de la Seaco dans le domaine de l'eau potable et de l'assainissement. Malheureusement, sur le terrain, et à ce jour, le transfert de savoir-faire attendu par la partie algérienne n'a pas été entièrement assuré selon les orientations du ministère de tutelle.
- la mise en place du progiciel WatErp reste aussi à l'état embryonnaire. La mise en place de ce logiciel et l'intégration de ce logiciel payé en devises fortes ne s'est pas faite et est devenu un simple logiciel clientèle, que n'importe quel concepteur de logiciel algérien aurait pu concevoir...
- La partie française est chargée notamment d'élaborer une cartographie du réseau d'AEP (SIG) et de généraliser les compteurs individuels. A charge pour la partie algérienne d'assurer les équipements hydrauliques nécessaires à cette politique. le SIG (système d'information géographique) reste toujours à l'étude...
- les créances actuelles de l'entreprise dépassent les 250 milliards, de quoi faire affolé le FMI...
- le recensement exhaustif des clients de la SEACO reste à l'état embryonnaire...
- le renouvellement des compteurs d'eau avance à petit pas....
- le macro comptage ne se fait toujours pas, et comble de l'aberration le rapport entre les volumes comptabilisés (eau produite - eau distribuée - eau facturée) semble irréelle et devrait faire réagir énergiquement tout responsable consciencieux ... (« La Société des eaux et de l’assainissement de Constantine (SEACO) a fourni en production selon son directeur environ 100 millions de mètres cubes d’eau, pour l’année 2011 et les 2/3 en distribution, (160 millions de m3 selon mes sources en production ) mais n’a facturé que pour une valeur de 30 millions de mètres cubes», a  indiqué son directeur. Selon les explications de ce dernier, si l’on divise les 100 millions de mètres cubes par un million d’habitants de la ville et par 365 jours de l’année, on a un résultat de 300 litres par jour et par habitant. «Ce qui est une très bonne moyenne» lien
- Les fuites d'eau (> à 5000 /an) sur le réseau ne font qu'augmenter, aucun bilan où étude scientifique n'est engagée pour comprendre le pourquoi de cet état...
- la certification ISO pour les structures de la SEACO semble une chose irréelle dans l'état actuel des choses (la SEM pourtant connait bien ce volet lien ), contrairement aux autres partenaires étrangers qui gèrent actuellement Alger et Oran qui eux ont réussis ce défi...
- l'aspect qualitatif de l'eau fournie est méconnue, limité par un simple contrôle bactériologique et du contrôle du chlore résiduel.








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