Le ministre des ressources en eau : « Les efforts consentis par l’État ont permis de s’éloigner du stress hydrique »
Entretien du Ministre des ressources en eau, Mr. Hocine Necib, invité de la radio algérienne chaine 3.. lien
Un blog pour discuter de la gestion de l'eau en Algérie. Le site est ouvert à tous afin de débattre où de s’exprimer sur le sujet. J’espère que vous trouverez l’information que vous cherchez, un blog à lire…
mardi 28 octobre 2014
Ressources en eau : dissolution de la Seata ...
LA DÉCISION PORTANT DISSOLUTION DE LA SOCIÉTÉ DES EAUX ET ASSAINISSEMENT D’EL-TARF ET ANNABA (SEATA) A ÉTÉ PRISE RÉCEMMENT PAR LE MINISTRE DES RESSOURCES EN EAU, HOCINE NECIB. C’EST CE QU’INDIQUENT DES SOURCES CRÉDIBLES QUI IMPUTENT CETTE DÉCISION AUX DIFFÉRENTS ET NOMBREUX SCANDALES AYANT SECOUÉ CETTE SOCIÉTÉ ET AU PRÉJUDICE MORAL ET FINANCIER QUI EN A DÉCOULÉ À PARTIR DE 2011...
Ressources en eau : dissolution de la Seata - La Nouvelle République -
Ressources en eau : dissolution de la Seata - La Nouvelle République -
mercredi 22 octobre 2014
Renforcement de lAEP dans la zone ouest de la ville de Constantine (SEACO) - Presse-Algerie.net
mardi 21 octobre 2014
Oran, première ville algérienne à expérimenter la nouvelle formule de gestion de l’eau potable...
Ahmed Ferki : (Maghreb emergent lien)
Les entreprises algériennes de gestion de l’eau potable et de l’assainissement vont continuer de recourir à l’expertise étrangère, mais elles assumeront désormais directement la gestion. La formule de la gestion déléguée sera progressivement abandonnée.
Oran sera la première ville algérienne à expérimenter la nouvelle formule initiée par le ministère algérien des ressources en eau dans la gestion de l’eau potable. La gestion déléguée, en vigueur depuis bientôt une décennie, sera progressivement abandonnée, au profit de celle de l’assistance technique, supposée plus ciblée et moins coûteuse.
Le choix d’Oran est toutefois une simple affaire de calendrier. Le contrat qui liait la SEOR (société des eaux d’Oran) à l’Espagnol Agbar (filiale de Suez), est le premier à arriver à échéance. Toutes les autres grandes villes (Alger, Constantine, Annaba, Tipaza) passeront à la nouvelle formule lorsque le contrat en vigueur arrivera à expiration.
La formule de la gestion déléguée avait été lancée en 2006, lorsque M. Abdelmalek Sellal était ministre des ressources en eau. Le premier contrat avait été signé avec le français Suez, à qui a été confiée la gestion de l’eau potable et de l’assainissement à Alger. Une nouvelle entreprise, la SEAAL, avait été créée à cet effet, et confiée à des cadres de Suez au terme d’un contrat de 120 millions d’euros. La formule avait été ensuite élargie, avec des résultats très contrastés. A Annaba, ce fut un échec évident, qui a débouché sur la résiliation du contrat conclu avec l’allemand Gelssen-Wasser. A Constantine, des tensions étaient apparues entre la SEACO et la société des Eaux de Marseille (SEM), qui avait décroché le contrat, mais sans aller jusqu’au clash.
Résultats mitigés
Les contrats avaient pour ambition d’assurer une distribution de l’eau potable en continu, et un transfert de savoir-faire au profit du personnel algérien. Ils avaient été élaborés dans la foulée de la grande crise de 2001, qui avait vu les réserves dans les barrages baisser à un niveau alarmant, contraignant les autorités algériennes à envisager d’importer de l’eau par bateau à partir de l’Europe. Des travaux d’aménagement avaient même été entamés à cet effet au port d’Alger.
L’aisance financière a toutefois permis, dans les années qui ont suivi, d’investir massivement dans la mobilisation des ressources en eau. Mais la qualité de la gestion n’a pas suivi. Et si l’eau potable est disponible de manière correcte dans les grandes villes, notamment à Alger, il est difficile de dire si c’est l’effet de la gestion de Suez, ou simplement le résultat de la disponibilité de l’eau en abondance. Alger, par exemple, mobilise actuellement plus d’un million de mètres cube par jour, contre moins de la moitié il y a dix ans. Ce résultat a été obtenu grâce à l’apport du barrage de Taksebt, et des stations de dessalement du Hamma et de Douaouda, d’une capacité théorique de 200.000 mètres cube chacune. Les stations de dessalement autour d’Oran, couplés au système MAO (Mostaganem-Arzew-Oran) peuvent mobiliser près d’un million de mètres cube. Dans l’est du pays, le barrage de Beni-Haroun, avec sa réserve qui peut atteindre un milliard de mètres cube, a bouleversé la donne. Il n’y a donc plus de rareté, mais une gestion toujours défaillante. Car malgré cette abondance, il y a encore des coupures récurrentes dans certains quartiers d’Alger.
Expertise étrangère
Le ministre des ressources en eau, M. Hocine Necib, l’a d’ailleurs reconnu, en affirmant que le prochain défi sera celui de la gestion. Avec des cadres algériens, cette fois-ci. Ceux-ci dirigeront les entreprises des grandes villes (SEAAL, SEOR, SEACO, etc.), et seront assistés par des experts étrangers, qui n’auront plus la responsabilité de la gestion directe. Il s’agit d’une adaptation des contrats à la réalité locale : les experts étrangers n’arrivaient plus à se retrouver avec des interlocuteurs qui pensaient qu’il suffit de mettre de l’argent pour que tous les problèmes soient réglés. Ce qui explique en partie l’échec de l’expérience de la gestion déléguée.
Les cadres algériens sont toutefois issus de l’ancienne bureaucratie, dont ils ont gardé les pratiques. Ils se contentent d’appliquer les orientations de la tutelle, sans idée novatrice. « Ils n’ont pas de démarche ambitieuse pour tirer le meilleur parti des ressources disponibles », déclare un ancien cadre du secteur. Le choix de la gestion déléguée, et aujourd’hui celui du recours à une « assistance technique », n’a pas été fait par les dirigeants de l’ADE (Algérienne des Eaux) et ceux de l’ONA (Office Nationale de l’Assainissement), mais par le ministère. C’est également le ministère qui fixe le prix de l’eau, maintenu à un niveau très bas : le prix n’a pas été revu depuis bientôt dix ans.
Incohérence
A leur décharge, les gérants du secteur souffrent toutefois d’une confusion totale dans le partage des tâches et des responsabilités qui en découlent. Le ministère définit les grands choix en matière de gestion de l’eau potable, mais dans l’exécution, se mêlent les entreprises du secteur, les walis, les APC, l’administration locale, etc. Cela débouche souvent sur des situations inattendues. Le transfert Illizi-Tamanrasset a ainsi coûté trois milliards de dollars, et il a fallu plus de trois ans pour l’achever. Mais à la fin des travaux, quand le président Bouteflika devait se déplacer pour l’inaugurer, les responsables concernés ont découvert que Tamanrasset n’avait pratiquement pas de réseau d’eau potable. L’eau traverse ainsi mille kilomètres de Sahara pour arriver à Tamanrasset, mais il était impossible de l’acheminer vers les habitations, à quelques centaines de mètres…..
Les entreprises algériennes de gestion de l’eau potable et de l’assainissement vont continuer de recourir à l’expertise étrangère, mais elles assumeront désormais directement la gestion. La formule de la gestion déléguée sera progressivement abandonnée.
Oran sera la première ville algérienne à expérimenter la nouvelle formule initiée par le ministère algérien des ressources en eau dans la gestion de l’eau potable. La gestion déléguée, en vigueur depuis bientôt une décennie, sera progressivement abandonnée, au profit de celle de l’assistance technique, supposée plus ciblée et moins coûteuse.
Le choix d’Oran est toutefois une simple affaire de calendrier. Le contrat qui liait la SEOR (société des eaux d’Oran) à l’Espagnol Agbar (filiale de Suez), est le premier à arriver à échéance. Toutes les autres grandes villes (Alger, Constantine, Annaba, Tipaza) passeront à la nouvelle formule lorsque le contrat en vigueur arrivera à expiration.
La formule de la gestion déléguée avait été lancée en 2006, lorsque M. Abdelmalek Sellal était ministre des ressources en eau. Le premier contrat avait été signé avec le français Suez, à qui a été confiée la gestion de l’eau potable et de l’assainissement à Alger. Une nouvelle entreprise, la SEAAL, avait été créée à cet effet, et confiée à des cadres de Suez au terme d’un contrat de 120 millions d’euros. La formule avait été ensuite élargie, avec des résultats très contrastés. A Annaba, ce fut un échec évident, qui a débouché sur la résiliation du contrat conclu avec l’allemand Gelssen-Wasser. A Constantine, des tensions étaient apparues entre la SEACO et la société des Eaux de Marseille (SEM), qui avait décroché le contrat, mais sans aller jusqu’au clash.
Résultats mitigés
Les contrats avaient pour ambition d’assurer une distribution de l’eau potable en continu, et un transfert de savoir-faire au profit du personnel algérien. Ils avaient été élaborés dans la foulée de la grande crise de 2001, qui avait vu les réserves dans les barrages baisser à un niveau alarmant, contraignant les autorités algériennes à envisager d’importer de l’eau par bateau à partir de l’Europe. Des travaux d’aménagement avaient même été entamés à cet effet au port d’Alger.
L’aisance financière a toutefois permis, dans les années qui ont suivi, d’investir massivement dans la mobilisation des ressources en eau. Mais la qualité de la gestion n’a pas suivi. Et si l’eau potable est disponible de manière correcte dans les grandes villes, notamment à Alger, il est difficile de dire si c’est l’effet de la gestion de Suez, ou simplement le résultat de la disponibilité de l’eau en abondance. Alger, par exemple, mobilise actuellement plus d’un million de mètres cube par jour, contre moins de la moitié il y a dix ans. Ce résultat a été obtenu grâce à l’apport du barrage de Taksebt, et des stations de dessalement du Hamma et de Douaouda, d’une capacité théorique de 200.000 mètres cube chacune. Les stations de dessalement autour d’Oran, couplés au système MAO (Mostaganem-Arzew-Oran) peuvent mobiliser près d’un million de mètres cube. Dans l’est du pays, le barrage de Beni-Haroun, avec sa réserve qui peut atteindre un milliard de mètres cube, a bouleversé la donne. Il n’y a donc plus de rareté, mais une gestion toujours défaillante. Car malgré cette abondance, il y a encore des coupures récurrentes dans certains quartiers d’Alger.
Expertise étrangère
Le ministre des ressources en eau, M. Hocine Necib, l’a d’ailleurs reconnu, en affirmant que le prochain défi sera celui de la gestion. Avec des cadres algériens, cette fois-ci. Ceux-ci dirigeront les entreprises des grandes villes (SEAAL, SEOR, SEACO, etc.), et seront assistés par des experts étrangers, qui n’auront plus la responsabilité de la gestion directe. Il s’agit d’une adaptation des contrats à la réalité locale : les experts étrangers n’arrivaient plus à se retrouver avec des interlocuteurs qui pensaient qu’il suffit de mettre de l’argent pour que tous les problèmes soient réglés. Ce qui explique en partie l’échec de l’expérience de la gestion déléguée.
Les cadres algériens sont toutefois issus de l’ancienne bureaucratie, dont ils ont gardé les pratiques. Ils se contentent d’appliquer les orientations de la tutelle, sans idée novatrice. « Ils n’ont pas de démarche ambitieuse pour tirer le meilleur parti des ressources disponibles », déclare un ancien cadre du secteur. Le choix de la gestion déléguée, et aujourd’hui celui du recours à une « assistance technique », n’a pas été fait par les dirigeants de l’ADE (Algérienne des Eaux) et ceux de l’ONA (Office Nationale de l’Assainissement), mais par le ministère. C’est également le ministère qui fixe le prix de l’eau, maintenu à un niveau très bas : le prix n’a pas été revu depuis bientôt dix ans.
Incohérence
A leur décharge, les gérants du secteur souffrent toutefois d’une confusion totale dans le partage des tâches et des responsabilités qui en découlent. Le ministère définit les grands choix en matière de gestion de l’eau potable, mais dans l’exécution, se mêlent les entreprises du secteur, les walis, les APC, l’administration locale, etc. Cela débouche souvent sur des situations inattendues. Le transfert Illizi-Tamanrasset a ainsi coûté trois milliards de dollars, et il a fallu plus de trois ans pour l’achever. Mais à la fin des travaux, quand le président Bouteflika devait se déplacer pour l’inaugurer, les responsables concernés ont découvert que Tamanrasset n’avait pratiquement pas de réseau d’eau potable. L’eau traverse ainsi mille kilomètres de Sahara pour arriver à Tamanrasset, mais il était impossible de l’acheminer vers les habitations, à quelques centaines de mètres…..
Un cycle de formation national au profit de 300 représentants des syndicats du secteur - La Nouvelle République -
mardi 14 octobre 2014
Faire pipi sous la douche pour économiser de l'eau
C'est l'initiative d'une association étudiante de l'Université East Anglia, située à Norwich en Grande-Bretagne. Ces quelques étudiants tentent d'inciter leurs camarades à uriner sous la douche pour économiser de l'eau. Cette campagne baptisée Go with the Flow - en français "Laissez-vous aller"- recommande aux 15.000 étudiants de ce campus d'éviter le passage aux toilettes le matin et d'aller directement prendre leur douche pour s'y soulager.
Cette initiative permettrait d'économiser chaque jour l'équivalent de 26 piscines olympiques en eau potable. "Imaginez l'impact que cela pourrait avoir si tout le monde à East Anglia, et même au Royaume-Uni, changeait ses habitudes matinales", s'enthousiasme auprès de la BBC Chris Dobson, 20 ans, l'un des initiateurs du projet. Il continue : "Nous essayons de remettre en question les comportements traditionnels pour lancer un débat sur une ressource considérée à tort comme acquise".
"Il n'y a aucun risque"
Une nouvelle manière d'envisager son rituel matinal qui choque certains étudiants. "La campagne a divisé les étudiants, explique Chris Dobson, certains aiment beaucoup l'idée, d'autres la détestent". L'association étudiante explique cependant qu'uriner sous la douche ne pose aucun problème d'hygiène : "Tant que l'eau coule, il n'y a aucun risque car l'urine est stérile mais nous recommandons aux personnes qui partagent leurs douches et qui veulent se lancer de se concerter d'abord". Du côté de la direction de l'université, personne ne semble s'opposer à cette idée.
Sur Twitter, c'est parfois un autre son de cloche.
voir lien
lundi 13 octobre 2014
La SEACO pointée du doigt..
Au cours de l'émission «Forum» de la radio régionale, diffusée hier en direct et consacrée aux prestations de la Seaco quelques mois seulement après la fin du contrat quinquennal avec la Société des eaux de Marseille (SEM) et le départ du partenaire français, les abonnés sont tous tombés à bras raccourcis sur la qualité des services dispensés par cette société. Quelques-uns sont allés jusqu'à dire que « depuis le départ du partenaire français nous n'avons plus d'eau ! ». Et d'évoquer ensuite que la plupart des objectifs contractuels constituant l'engagement de la SEM n'ont pas été concrétisés, à l'instar de l'établissement d'une cartographie du réseau, de la création d'une école de formation propre à la Seaco et, surtout, surtout, l'engagement d'assurer l'écoulement de l'eau dans les robinets domestiques H/24 pour toutes les zones de la wilaya et la suppression totale des fuites d'eau sur le réseau.
Et c'est probablement ce genre de critiques qui aurait poussé le directeur général actuel de la Société des eaux et de l'assainissement de Constantine, invité à l'émission, à déclarer forfait en se faisant remplacer à la dernière minute par deux assistants-directeurs, lesquels se sont présentés avec une demi-heure de retard. Prenant le train de l'émission en marche, les responsables de la Seaco qui ont pris la relève le 2 Juillet dernier après le départ définitif de l'encadrement français, ont déclaré que les méthodes de gestion sont demeurées les mêmes, qu'il n'y a rien de changé. « Les efforts actuels de la société sont concentrés sur les ressources humaines et la formation auxquelles nous consacrons 17 % du budget. Cette formation se fait dans des institutions de management localisés à Oran, à Alger et à Blida », a affirmé en effet le directeur de l'exploitation en ajoutant que durant la période de partenariat, l'exploitation du réseau d'alimentation en eau a été conduite par les Algériens, et les Français n'ont apporté que leur savoir-faire en matière d'organisation.
Intervenant pour répondre aux questionnements des citoyens qui ont relevé l'échec quant à la réalisation de l'objectif de l'écoulement de l'eau 24/24, le directeur de la distribution a indiqué que le taux de distribution était de 24 % en 2009 et maintenant, après la fin du contrat de 5 ans avec la Société des eaux de Marseille, ce taux a été porté à 80 %. Et aux citoyens de faire eux-mêmes la conclusion. Mais les responsables de la Seaco ont reconnu que les principaux objectifs contractuels cités plus haut n'ont pas été réalisés.
Pourquoi ? Les réponses attendues par tous les auditeurs ne sont pas venues. Et c'est ainsi que tout le monde est resté sur sa faim. Et durant le reste de l'émission, un ballet de questions-réponses s'est instauré sur les ondes entre les représentants de la Seaco et les auditeurs qui se plaignaient des coupures d'eau, de la facturation et de la mauvaise exécution des travaux de remise en état de la chaussée après la réparation des fuites.
lien article publié par le quotidien d'Oran
autre lien El Watan
Et c'est probablement ce genre de critiques qui aurait poussé le directeur général actuel de la Société des eaux et de l'assainissement de Constantine, invité à l'émission, à déclarer forfait en se faisant remplacer à la dernière minute par deux assistants-directeurs, lesquels se sont présentés avec une demi-heure de retard. Prenant le train de l'émission en marche, les responsables de la Seaco qui ont pris la relève le 2 Juillet dernier après le départ définitif de l'encadrement français, ont déclaré que les méthodes de gestion sont demeurées les mêmes, qu'il n'y a rien de changé. « Les efforts actuels de la société sont concentrés sur les ressources humaines et la formation auxquelles nous consacrons 17 % du budget. Cette formation se fait dans des institutions de management localisés à Oran, à Alger et à Blida », a affirmé en effet le directeur de l'exploitation en ajoutant que durant la période de partenariat, l'exploitation du réseau d'alimentation en eau a été conduite par les Algériens, et les Français n'ont apporté que leur savoir-faire en matière d'organisation.
Intervenant pour répondre aux questionnements des citoyens qui ont relevé l'échec quant à la réalisation de l'objectif de l'écoulement de l'eau 24/24, le directeur de la distribution a indiqué que le taux de distribution était de 24 % en 2009 et maintenant, après la fin du contrat de 5 ans avec la Société des eaux de Marseille, ce taux a été porté à 80 %. Et aux citoyens de faire eux-mêmes la conclusion. Mais les responsables de la Seaco ont reconnu que les principaux objectifs contractuels cités plus haut n'ont pas été réalisés.
Pourquoi ? Les réponses attendues par tous les auditeurs ne sont pas venues. Et c'est ainsi que tout le monde est resté sur sa faim. Et durant le reste de l'émission, un ballet de questions-réponses s'est instauré sur les ondes entre les représentants de la Seaco et les auditeurs qui se plaignaient des coupures d'eau, de la facturation et de la mauvaise exécution des travaux de remise en état de la chaussée après la réparation des fuites.
lien article publié par le quotidien d'Oran
autre lien El Watan
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