En premier, j'aimerai vous informer d'une nouvelle publication "Le Quotidien de Constantine" qui vient de paraître et qui vient de publier son premier numéro le jeudi 7 novembre 2013. C'est un journal d'excellente facture, un quotidien national qui j'espère nous apportera dans le futur une information de qualité, je lui souhaite de réussir et je transmet un grand bonjour à toute l'équipe "le quotidien de Constantine.
Je lis avec beaucoup de plaisir sur ce numéro un article sur la SEACO, en page 6. Un article qui explique avec clarté les démarches entreprises par le directeur de la SEACO, monsieur Valin pour rattraper les retards cumulés afin d'obtenir un quitus pour un deuxième contrat de gestion.
L'article explique que de nombreux projets sont lancés dans la précipitation pour rattraper les retards et font l'objet d'une publicité outrancière dans la plupart des quotidiens nationaux. Tout y passe, le site Web, le transfert des compétences, les travaux d'assainissement, la rénovation du réseau AEP, le centre de formation, etc... tout est bon à publié et l'entreprise est prise d'assaut par des entreprises soumissionnaires, heureuses de décrocher de si juteux contrats. Le forcing est coordonné et pris en charge aussi par la SEM à Marseille, par son directeur général en personne, monsieur Loïc Fauchon. Le marché algérien est une priorité et Constantine doit rester dans le giron de Marseille.
Le compte à rebours a commencé, il ne reste que quelques mois avant l'expiration du contrat, les autorités locales et centrales savent que la SEM qui gère la SEACO n'a pas respectée les termes de son contrat et constatent que beaucoup de lacunes sont constatées. Le forcing actuel du directeur ne dupe personne et il sera difficile de négocier un second contrat sans explications pour n'avoir pas su hisser la SEACO au même niveau que les entreprises qui gèrent Oran (SEOR) et Alger (SEAAL), deux entreprises qui ont renouveler leur contrat grâce aux efforts des travailleurs et des managers étrangers.
La SEACO devra un jour se justifier et quelqu'un devra payer pour ces retards et ce semblant de gestion archaïque.
La balle est dans le camp du Ministre des ressources en eau, qui devra bientôt décider des suites à donner à ce semblant de gestion... à suivre
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